wolf andres - transgression

( # )Sam 30 Déc - 18:25

wolf, andres

ft. peter gadiot

guerre - violence - mort - consommation d'alcool/cigarette - ptsd

nom(s) Wolfprénom(s) Andres, Theobalddate de naissance 07/05/1988lieu de naissance New York, Etats Unisoccupation chirurgien "Hospital Central"groupe purgatory

nom(s) & prénom(s) ; Wolf, le nom hérité du père. Andres, prénom choisis par sa mère. Theobald, le second, prénom que portait son grand père paternel.
date & lieu de naissance ; Il est né le 7 mai 1988, à New York.

nationalité & origines ; Il possède la nationalité américaine, et a des origines mexicaine et allemande.

statut civil, orientation, genre & pronoms ; Homme cisgenre, n'ayant jamais eu à redire sur son identité de genre. Heureusement, puisque cette question se serait posée bien tardivement si cela avait été le cas. Il est plutôt ouvert concernant sa sexualité, s'avérant pansexuel. L'anneau toujours au doigt, ils sont pourtant séparés, mais officiellement toujours mariés.

occupation ; Chirurgien de médecine générale et traumatique à l'hôpital central. Il est aussi chef du service de chirurgie traumatologique, après le décès de son prédécesseur.

traits de caractère ;[+++] intelligent, débrouillard, protecteur, charismatique, travailleur, minutieux, attentionné, ...
[---] sarcastique, cassant, brutal parfois, sanguin, rancunier, autoritaire, secret, ...

points d'histoire
· les origines ; Les Wolf, c'est un nom qui a marqué l'histoire. Un peu ? Pas trop. Commun dans leur pays d'origine, c'est juste un nom qui fait penser au loup qui veut croquer le petit chaperon rouge. Ancêtre paternel ingénieur qui a préféré quitter l'Allemagne pour participer à la construction du pont de Brooklyn sous la direction de John Roebling et qui a donné les bases d'une vie de classe moyenne à une partie de sa descendance. C'est une histoire familiale riche, sans vraiment l'être, que tu possèdes, parce qu'à l'avant dernière génération, celle de tes parents, tout ce que tu peux affirmer, c'est que ton père se tuait à la tache dans un bureau, et qu'en épousant ta mère, immigrante clandestine, il lui a permis d'obtenir un visa, mais aussi un job de serveuse pour subvenir aux besoins de la famille qu'ils ont conçu.
· l'enfance, l'adolescence ; Une sœur, un frère, et toi, c'était ça la fratrie de la famille Wolf. Trois gamins qui grandissent dans un milieu de classe... modeste ou moyenne, le choix était parfois difficile. Mais même si les fins de mois étaient parfois difficiles, y avait toujours de quoi manger sur la table, des vêtements propres, et la messe le dimanche matin parce que maman y tenait, même si elle était de service. De toute façon, ça ne comptait pas, à l'école, t'y a été balancé un an avant l'âge obligatoire, et ça a pas été plus mal. T'étais un sportif, un populaire, le gars qui pouvait bien embrasser qui il y voulait, tant que c'était une fille. Faut replacer les années dans leur contexte. Les mecs c'était toujours à l'abris des regards, dans l'ombre de la pom-pom-girl populaire qu'il trompait parfois, sans remord. Stéréotype prémâché du mec qui sait qu'il peut tout avoir et qui ne se gêne pas pour être un connard. Mais tu redevenais toujours le gamin fiable dès que tu rentrais à la maison, même si ton haleine dissimulait parfois clope et alcool.
· la fac ; 17 ans. Pour y entrer, t'as juste poussé le sport au point de te faire repérer par un recruteur. Quand on a rien, faut savoir se débrouiller autrement, et t'as toujours été plutôt déterminé quand tu voulais quelque chose. Tu savais que si t'étais pas mal en cours, ce n'était pas ce qui pourrait te financer réellement, qu'il y aurait toujours meilleur. Tu t'es donné les moyens, t'as poussé, bousculé le diable pour lui voler sa place, et ça a fonctionné. Trois années au frais de big brother. Trois années à étudier ce que le type du recrutement militaire t'avait balancé lorsque tu t'étais pointé du haut de tes seize ans pour avoir des informations.
· l'armée ; Quelques 20 et autres années. Le choix le plus logique pour celui qui voulait devenir médecin. Non, pas que, t'as su très tôt que tu voulais te spécialiser en chirurgie. Mais avant cela, il fallait les trois premières années de fac, et entrer au "Uniformed Services University of Health Sciences" (USU) après t'être engagé dans l'armée. Conditions physiques irréprochables, financement total de tes études par le gouvernement, simplement le service actif de minimum 7 ans, sans possibilité de quitter l'armée si tu foirais. L'uniforme, tu l'as porté. T'es parti dans le Maryland (Béthesda) pour y étudier durant 4 ans. Du moins, comme port de rattachement, tout en recevant le même salaire qu'un sous-lieutenant de l'armée, avant d'enchaîner sur 6 années de résidence en chirurgie générale. Le tout, en participant à des opérations de déploiement, entre autre. T'as jamais lâché le morceau, décidé à aller jusqu'au bout, à finir diplômé. Et puis t'as embrayé encore un peu dans l'armée, parce que mine de rien, en travaillant dans ces conditions, tu touchais à des gadgets captivants, t'approchaient des chercheurs à la pointe de la dernière technologie. Moins que tu l'aurais voulu. Il y avait surtout ce sang, cette horreur agrémentée d'une beauté terrifiante. T'étais important là-bas, au front, parce que tu sauvais des vies qui seraient mortes si des personnes comme toi ne prenaient pas la décision de s'engager. Parfois, tu les perdais. Parfois encore, tu les sauvais... pour qu'ils rentrent chez eux complètement bousillés. Mais ça faisait parti de tout ça, des risques, de l'engagement, et des casseroles que toi aussi, t'as ramené à la maison.
· 2014 ; 26 ans. Première purge à Staten Island. Tu regardes ça de loin, sans être sûr d'apprécier ce que ça signifie.
· 2016 ; 28 ans. Seconde purge, ta famille, croyant que seule New York serait impactée, s'éloigne dans une ville voisine de l'état, et manque de peu d'y passer. Toi, t'étais ailleurs. En service.
· 2017 ; 29 ans. La purge passe dans la constitution, et concerne tous les USA. Et toi, t'en reviens pas que ça puisse se produire.
· 2018 ; 30 ans. T'es diplômé de l'école de médecine militaire, en tant que chirurgien général. Il s'enrôle pour 3 années supplémentaires en service actif en tant que médecin militaire, après son mariage avec la meilleure amie de sa sœur.
· 2019 ; 31 ans. La purge de trop. La plus meurtrière, des règles non respectées. L'absence ressentie. Mais toi, tu jouais ta vie ailleurs. C'était pas le rôle de l'armée, enfin pas en quittant l'endroit où toi tu étais déployé, d'aller babysitter la population. T'as passé un coup de fil au milieu de ta nuit. Parce que tu savais quel jour on était. Et qu'il fallait prendre des nouvelles, s'assurer que tout le monde allait bien. Mais ce n'était pas le cas. Pas cette année. Pourquoi t'as cru qu'avec une simple porte ça les protégerait ? Pourquoi t'as cru qu'une base militaire, ça suffirait ? Qu'un militaire en pleine purge, ça valait mieux que les autres débiles ? T'as perdu ta fille cette nuit-là.
Ca a brisé ton mariage, aussi.
· 2021 ; 33 ans. Tu quittes l'armée ayant terminé tes dernières années en service actif. La base n'est plus ta maison, et c'était déjà plus la sienne. De retour à New York, avec ta rancœur, tes blessures. Tu participes à ta première purge. Enfin, disons surtout que t'as retrouvé l'enfoiré qui s'en est pris à ta famille et que tu l'as laissé là, drogué, attaché, étiqueté, à la merci des premiers joyeux drilles qui passeraient. Tu ne sais pas ce qui lui est arrivé cette année de deux jours de purge, t'as juste découvert son avis de décès perdu au milieu de tous les autres. Est-ce que ça t'empêche de dormir la nuit ? C'est pas ça qui trouble tes songes, loin de là. C'est pas la première personne que t'abat, et lui, t'as fait que pointer l'arme chargée sur sa petite gueule d'ange. Le reste n'était plus entre tes mains. De ton côté, tu t'es calfeutré avec ta famille, des armes prêtes à l'emploi, les nerfs à vif, les flash-back de la guerre rampant comme des serpents sur ta peau tendue.
· PTSD ; T'as failli vriller cette nuit-là en te mettant à somnoler au bout d'un trop grand temps de vigilance. T'as reconnu les symptômes, alors t'as consulté pour une thérapie. Pour éviter que ça se reproduise, que les cauchemars dont t'avaient jamais parlé ne finissent par complètement te pourrir l'existence. Ca finit par s'améliorer avec le temps, mais tu poursuis les séances, parce que tu sais qu'elles te font du bien.
· Hospital Central ; Dès qu'un collègue chirurgien croisé au cours d'une mission humanitaire a su que t'étais en ville, en te découvrant dans une ambulance, en train de donner des consignes en arrivant sur place, on t'a recruté. T'étais doué, t'avais l'expérience de la traumato sur les terrains de guerre, t'étais utile, surtout après deux journées qui ressemblaient à s'y méprendre à des blessures de guerre. T'as remplacé celui qui n'est jamais venu, disparu dans cette purge... qu'on dit moins dévastatrice que les autres. Chef de ton service de chirurgie l'année suivante, t'as pris tes marques dans cette institution publique qui fonctionne par gala de collecte de fonds pour tenter de survivre avec des équipements qui tiennent la route. Rien à voir avec les terrains de guerre. Rien à voir avec certains hôpitaux militaires à la pointe de la recherche. T'as atterri dans une sorte d'entre-deux qui te forcent à jouer des mains, à sourire aux milliardaires qui peuvent mettre la main aux portefeuilles si ce que tu leur raconte leur plait, si tes propres recherches sont capables de les intéresser. C'est pas ton coeur de métier, t'es mille fois plus à l'aise avec un scalpel à la main, mais ça fait parti du job.
· le mariage ; T'as essayé quand t'es rentré, mais c'est comme si en vous regardant, c'était toute la rancœur, la culpabilité, les reproches, et votre gamine que vous voyez en l'autre. Elle a essayé, elle aussi, quand t'es rentré. De te regarder, de te toucher, de t'embrasser, malgré toute la colère qu'elle ressentait pour toi. Mais pour elle, t'es coupable, Andres. Coupable d'avoir préféré ta carrière à leur sécurité. Coupable de ne pas avoir été là pour les protéger. Elle n'a jamais expliqué ce qu'il s'était passé cette nuit-là, juste le résultat. Lily était morte. Mais quand elle te frappe, quand elle s'emporte, quand elle explose contre toi, tu sais que ses blessures sont aussi graves que les tiennes. Sauf qu'au lieu de vous reconstruire ensemble, vous vous en créez d'autres. Pas de divorce encore, mais t'as fini par dormir dans une chambre d'hôtel, ta nouvelle maison temporaire, avant de te trouver un appartement sur Manhattan pour point de chute. 75m², lumineux, que demander de plus ? Un mariage qui marche ? Pfff. Tu l'as déjà trompée. De toute façon, c'est foutu.
· le grain de sable ; Un gala guindé pour récolter des fonds, les sourires accentués sur ton visage pour donner le change alors que tu n'as pas vraiment l'envie d'être là. Ca fait une semaine que tu loues une chambre à l'hôtel où ça se déroule. Une semaine que la dernière dispute a fait en sorte que tu décides de la laisser là, avec ses reproches à la con, ses "c'est ça, sauve-toi ! t'es le roi des absents de toute manière !" C'est pas la première fois que tu la trompes depuis ton retour, comme si elle ne savait plus comment te donner ce dont tu as besoin. Faut dire que vous passez votre temps à vous entredéchirer quand vous êtes ensembles. Parce que t'es pas tout blanc, tu sais aussi mordre avec les mots, les poings serrés. T'étouffes dans ce qui n'est plus vraiment un mariage mais un champ de ruine, mais c'est pas lui qui ouvre les hostilités. Il n'a pas cette culpabilité qu'il n'aurait pas ressenti de toute manière, le Rosario. Il dénotait dans ce monde artificiel, il a été comme une bouffée d'air frais dans cette soirée sans fin. Un numéro de chambre glissé à l'abris des oreilles indiscrètes, et t'es reparti charmer ton auditoire, avec l'espoir d'un plus tard qui te ferait du bien. Et qui s'est produit. Sans rien savoir du plus jeune, juste que c'était sa première fois. Mais ce n'était qu'une fois en passant, sans attache, sans lendemain, malgré ton geste presque tendre, et l'échange de prénoms qui ne comptent pas. Deux mondes. L'un sans avenir, l'autre qui s'est battu pour en avoir un. Tu ne pensais pas le revoir, le recroiser, pourtant, il n'a fallu qu'un mois pour que le destin vous replace en présence l'un de l'autre, de son corps pressé contre le tien. Passion brutale qui se percute sur fond de respirations sans parole.
· purge 2023 ; La dernière, la moins suivie, même si t'as vu ton nombre d'opérations et de blessés qui convergeaient vers les urgences augmenter comme chaque année après coup. Moins le foutoir ? Dans le tas, t'as pas vu grand chose. Mais c'est ce qu'on déclaré les informations dans les jours qui ont suivi. Et puis après, c'est noël. De toute façon, c'est pas ta période de l'année préférée. Peut-être que ça aurait pu l'être, mais c'est lié à Lily depuis 2019. Tu préfères bosser en laissant partir les autres, que de rester à te morfondre chez toi en te reprochant ce que ta femme ne cesse de te cracher au visage presque à chaque fois. Elle, elle passe noël avec ta famille, toujours. L'ironie, parfois.

anecdotes

· 1 ; Ex chirurgien militaire qui s'est fait financer ses études en intégrant l'armée. Officier à la retraite de l'armée depuis 2021. Il est chef du service de chirurgie traumatologique à l'hôpital central. · 2 ; Né dans une famille modeste de classe moyenne, il a un frère et une sœur. · 3 ; Elève populaire et sportif, il a fini par obtenir une bourse sportive pour ses 3 premières années universitaires. · 4 ; Sort diplômé en mai 2018, puis s'est marié en juillet 2018 à la meilleure amie de sa sœur, déjà enceinte de deux mois au moment des noces. · 5 ; 13 février 2019. Il manque la naissance de sa fille, Lily, mais obtiendra une permission pour aller la voir. · 6 ; Purge 2019. Pense que sa famille est en sécurité à sa base, mais apprend le lendemain que sa famille a été attaquée par un autre militaire, et que sa fille est morte. · 7 ; Quitte l'armée en 2021, et profitera de la nouvelle purge pour venger la mort de sa fille, en enlevant le militaire coupable pour le laisser à la merci des tarées participant à la purge. Se rend compte qu'il souffre de PTSD et se fait soigner, tout en prenant un poste à l'hôpital central. · 8 ; 2022, devient chef de son service de chirurgie. · 9 ; Fume de manière habituelle dès qu'il quitte son poste. Bois occasionnellement, sans être accro. Ne touche pas à la drogue. · 10 ; Participe à des gala pour récolter des fonds pour l'hôpital parce que ça fait parti du job, pas particulièrement parce qu'il aime sourire sur commande. · 11 ; Sait cuisiner, mais se prend des plats à emporter la plupart du temps. · 12 ; Est toujours marié avec sa femme, mais leur mariage semble mort, et il s'est déjà "consolé" dans d'autres bras. · 13 ; Aime bien lire à l'occasion, souvent en lien avec son job, parfois des thrillers. · 14 ; Sportif, il va à la salle de sport pour se défouler et court tous les dimanche matin. · 15 ; Possède plusieurs tatouages, la plupart en lien avec l'armée. Le dernier est constitué des dates de naissance et de mort de sa fille. · 16 ; N'a plus mis les pieds dans une église depuis qu'il a enterré sa fille. · 17 ; Suit toujours une thérapie en lien avec son PTSD. · 18 ; Finit par s'endormir quand un film ou une série ne lui plaisent pas, mais qu'il laisse courir.

état du casier judiciaire ; est-ce que ton personnage a déjà été interpellé par la police ? et si oui, pour quelles fautes ? ⤷ Son casier est vierge. Au contraire, lorsque l'on fait des recherches sur lui, on découvre ses années de chirurgiens militaire, à condition que ce ne soit pas secret, et les décorations reçues. Et puis, techniquement, il n'a rien fait, en dehors d'enlever un type qui n'a jamais eu l'occasion de porter plainte contre lui.

signes particuliers ; est-ce que ton personnage a des tatouages, des cicatrices, des habitudes ou des tics qui permettraient de le différencier des autres ? ⤷ Quelques tatouages sur le corps, en lien avec l'armée pour la plupart. Il y en a un, pourtant, plus discret, plus préservé, qui n'est constitué que deux dates : 13/02/2019 - 21/12/2019. Il a quelques cicatrices également, mais rien d'extraordinaire en comparaison de celles qu'il a déjà pu voir, ou recoudre.

what's up new york ; depuis combien de temps ton personnage habite t-il new york ? que représente cette ville à ses yeux ? ⤷ Il y est né. Il y a grandi. Il en est parti du temps où il était militaire. Et puis il est revenu s'y installer lorsqu'il a quitté l'armée. C'est là où vit sa famille. Là où il habite, et il ne se verrait pas vivre ailleurs en tant que civil.

the purge ; est-ce que ton personnage est pour ou contre ? qu'en pense t-il ? ⤷ Déjà, premier point : qui a eu l'idée tordue de faire ça juste avant noël ? C'est la première chose à laquelle il a pensé quand la première a été mise en place. Si Andres n'a jamais été pour, il est contre depuis ce qui est arrivé à sa fille. C'est un médecin. Un chirurgien, qui depuis son retour à la vie civile, tente de sauver ceux qu'on lui amène lorsque le temps de la purge s'arrête. Il déteste l'idée qu'on puisse tenter de pousser les gens à s'entretuer. Il a ses propres casseroles, dans d'autres pays, et il ne comprend pas qu'on puisse vouloir s'entretuer gratuitement. Il en a profité pour se venger, il a déjà tué de ses propres mains parce qu'il n'avait pas le choix, mais quand on l'a, quand on n'agit pas sur un putain de coup de tête motivé par la vengeance, on se rend compte que tout ça, ça n'a aucun sens. S'il ne fait parti d'aucune voix luttant contre, lui l'est sans aucun doute. Il soutient silencieusement les mouvements de contestation.

pseudo renewaalllpronoms elle, mais le il me gêne paspersonnageprélien de @Frasco Rosario créditstrue north & yeawell

13/08/2022

( # )Sam 30 Déc - 19:25

ooooh peter gadiot! un avatar de qualité, ça j'reconnais

bienvenue parmi nous!
un chirurgien en plus, bonté divine- il va suer aux lendemains de purge celui là. bon courage pour réparer les bobos des gens okay