Haera Kang

( # )Lun 8 Jan - 19:12

ft. KIM MINJI

Violence parentale, favoritisme, relation abusive, anxiété de performance, mention de enflure masculine, forcer

nom(s) Kangprénom(s)Hae Radate de naissance 08/01/2004lieu de naissance Upper East Side(manhattan), New YorkoccupationÉtudiante & vendeusegroupeheaven

nom(s) & prénom(s) ; Tout n’est le résultat de rien. La fin n’est qu’un début.
Les Grecs croyaient qu’après la mort toutes les âmes bonnes ou mauvaises, se rendaient dans le royaume gouverner par Hadès, et y demeuraient pour l’éternité. Jusqu’au moment de la réincarnation. Elle ne pourra plus apercevoir ceux portant son nom. Ceux lui ayant offert. Pourtant, au fond de son cœur. Elle espère retrouver dans un coin de l'enfer ou du paradis. Cherchant la clarté dans l'obscurité de ce monde. Elle n’est rien et ne sera jamais rien. Un simple être vivant, respirant sur cette terre macabre. Laissant l’air chaud se glisser en elle. Brûlant la pureté enfermer pour contaminer ce corps inerte d’incompréhension. Détruisant la coquille de cet ange déchu au prénom si loin de ce nom de famille. Appréciant ses ancêtres, mais les maudissants pour l'enfer qu'elle découvre sous la pénombre. Elle la seconde, mais la seule fierté de ses parents. Son identification ne cesse de glisser contre leurs lèvres. Ne cessant jamais de répéter le nom de : Haera Kang.

date & lieu de naissance ; Ce drapeau étoile danse sous le regard ébahit de ses trois faux Américains alors que le cœur battant laisse la fierté émerveiller la pulsion de cet organe. Ils se tiennent droits devant cette demeure aux traits du passé. Sentant la brise les accueillir dans cette nouvelle aventure. Sous un sourire enjoué, ils franchissent le cadre de porte en compagnie de ce bambin et de ''déchet''. L'aîné d'une famille dont la valeur n'est que poussière. Ceux dont la monarchie américaine les descend plus bas que des chiens. (Pour certains) Ils supportent cet apartheid. Sentant la séparation des êtres. La fierté surpasse l’angoisse en lui offrant le statut d’Américaine à l’origine sud-coréenne pour cet enfant né à venir (New York), le janvier 2004.

nationalité & origines ; La haine se glisse sous ça peu. Cette honte qui vient la consumer de plus en plus. Les flammes brûlant sa chair putride ne pourraient lui retirer ce malaise, cette perturbation et ce mal être d'être née dans un pays raciste. Américaine malgré tout. Sous ce battement continuel, la fierté d'être sud-coréenne surpassera toujours son pays de naissance.

statut civil, orientation, genre & pronoms ; "Haera, le fils de Madame Jeong..." Un lourdement lui parvient à ses oreilles. Les mots ne lui parviennent plus. Les paroles de cette vieille femme glissent au loin tel un bateau sur la mer. Ignorant la suite de ce discours répétitif. Rien ne lui plaît. Elle s'impose à ce rythme de vie pour une raison futile. Vivre avec son frère. Ignorant la fâcheuse tendance de sa mère pour combler son célibat. Haera se laisse dominer par peur de ne plus pouvoir voir le sourire de celui qu'elle apprécie plus que tout. Combien de fois a telle revêtue une tenue hors de pris pour s'asseoir devant un homme inconnus. Une personne dont l'argent et la gloire ne sont pas camouflés. Un dégout qui se glisse sur ses lippes finement étirées. Elle enchaine les rendez-vous arrangés pour satisfaire sa mère bien que son statut de célibataire ne lui dérange aucunement. L'attachement lui fait peur. L'amour la rend nerveuse. La douleur l'effraie. Elle préfère satisfaire librement que d'être enfermé dans une cage. (Aisé & pansexual)

occupation ; « Oh ! Vous savez, Haera sort encore avec mentions honorables à l’université. Elle est même déjà approchée par les plus grands hôpitaux pour de futurs stages… » La cuillère entre l’index et son pouce, le bout de métal tournoie doucement dans le fond de sa tasse. Le brouhaha laisse le dégoût s’installer en elle. Les livres qui s’accumulent au sol dans sa chambre ne sont pas ses choix. Ses parents la forcent à accomplir un désir de perfection. Une famille sans tâche, sans entrailles. Ce domaine n’est pas fait pour elle. La médecine n’a aucun grand intérêt pour sa personne. Pourtant, Haera est toujours incapable de dire ce simple mot. Un mot dont la simplicité est si facile à prononcer. Un simple non pourrait tout anéantir. Si seulement, elle avait le courage de pouvoir tout délaisser pour vivre de sa passion. Ce petit toutou bien éduquer est étudiante en médecine pédiatrique le jour, mais laisse son rêve prendre forme la fin de semaine comme maquilleuse.

traits de caractère ;[+++] À l'écoute, affectueuse, comique, fiable, généreuse, honnête, modeste, rassurante, rêveuse, sensible, sincère, sociable, sympathique.
[---] Bruyante, complexée, crédule, détendue, faible, rêveuse, impatiente, indulgente, irréaliste, lente, maladroite, mou, négligeante, pleurnicharde, sensible.

voici un petit espace que tu peux aménager comme tu veux ! anecdotes, chronologie, histoire, playlist, moodboard... n'oublie pas de supprimer ce petit texte !
· anecdote 1 ;Plus un bruit. Un silence s’installa dans cette demeure sous les yeux émerveillés du nourrisson. Son sourire observant l’enfant qui l’admira du mieux qui pouvait. Gargouillant de joie alors que le maigre doigt fut prisonnier de la petite main. Un regard amoureux rempli de bonheur fit briller les prunelles des enfants. Comment pouvaient-ils rester ainsi dans un espace-temps qui ne leur appartenait pas. Une paisibilité qui fut bienveillante. Le bambin s’endormit en n’abandonnant pas celui qui l’apaisait dans ce Nouveau Monde. Laissant une sécurité l’entourer. Seule sa respiration brisa ce silence. Cette sensation qui lui réchauffa la poitrine instinctivement. Ce n’était pas grand-chose. Un simple sentiment qui ne pourrait la quitter, car celui qui se tenait près d’elle pour la regarder tel un précieux trésor est son grand amour, son futur meilleur ami, son grand frère. Elle se laissa bercer par les bras de Morphée. Son corps navigue vers les rêveries… « Je t’interdis de la toucher ! Dégage ! » Sa prise s’éloigna de force. Un hurlement de peine et douleur brisa cette ambiance aimante. Une main se leva pour venir se poser violemment sur la joue du jeune garçon. La mère le repoussa en accourant vers son nouveau-né. La prenant pour la serrer contre sa poitrine. Sa voix se mélangea aux cris stridents de l’enfant. « Il a osé lui faire du mal ! Elle a mal ! Qu’est-ce que tu lui as fait ? » Son ton ne cesse de monter sous l’arrivée du père qui s’approcha de son fils. Il glissa ses mains devant la boucle de sa ceinture. Le paternel fit glisser le cuir le long de sa taille pour la retirer. La mère observa la scène d’un rictus bien étiré alors que son mari leva l’accessoire et la fit claquer sur l’enfant au sol. Le cuir rencontra la peau nue du jeune homme. Frappant encore et encore. La femme s’éloigna en protégeant l’enfant de cette vision morbide. Elle observa pour une dernière fois au-dessus de son épaule pour se délecter de la scène. Derrière elle, la porte se referma doucement alors que ses lèvres remplies de douceur se posèrent sur Haera Kang.

· anecdote 2 ; Dans sa chambre, la veilleuse clignote deux fois, trois et une dernières fois. Ses iris la fixent sans pouvoir détourner le regard de cette alliée contre les monstres de la nuit. Pendant de longues secondes, Haera hésita à bouger. Elle ne pouvait être faible. Sa mère lui avait bien dit que les monstres n’existent pas. Pourtant, il serait illogique d’être la seule enfant de 8 ans à craindre le noir, mais ce noir camoufle les bêtes de la nuit. Et, l’orange qui tombe sur la grande pomme ne vient pas l’aider. « Maman… » Elle secoua la tête. Non ! Il ne fallait aucunement l’appeler. Sa mère ne serait que dévastée de voir la faiblesse de sa fille encore présente. Sa jeune fille si parfaite aux yeux des autres femmes de la société. Haera ferma les yeux tout en serrant sa peluche de chat contre sa poitrine. Sa respiration se fait plus rapide alors que la foudre se déchaîne. Ne supportant pas plus le bruit de la tempête et le frottement contre le verre de sa fenêtre. Elle saute en bas du lit pour courir vers son lieu de sécurité. Toquant doucement à la porte. Elle serre sa peluche alors que les larmes coulent le long de ses joues. « Min… » La chambre s’éclaire sous le tonnerre et ses yeux s’élargirent. Sans aucune retenue, elle accourt et saute dans le lit pour se coller à son frère. Pleurant de peur. « Tu ne le diras pas à maman ? » Bien sûr qu’il ne dira rien. Ils ont leurs jardins secrets. Se collant à lui comme si sa vie en dépendait. Au bout de quelques minutes, ses yeux se ferment et elle trouvait le sommeil. Tenant son chandail sans libérer ce morceau de tissus. Si seulement, elle avait ouvert la lumière de la chambre, ses yeux auraient pu voir les bleus qui recouvraient les bras de son frère.
· anecdote 3 ; Les monstres ne rôdent pas dans l’obscurité.
Ils sont présents autour de nous. Ils se pavanent la tête haute sous leurs masques bon marché pour bien charmer leurs victimes.

Les mains posées sur les écouteurs de son frère, les yeux fermés et son dos coller au mur de sa chambre. Elle ignorait ce qui se passa derrière la porte de sa chambre. Il y a quelques instants, Min Jae venait de lui dire de rester dans sa chambre et ne pas sortir. Comme d’habitude, le son de la musique lui brutalisait les tympans. C’était étrange, car pour elle, sa famille était parfaite. Sauf que derrière la porte, le sang coulait. Pour une raison ? Haera avait fait un exposer sur une personne qu’elle admirait : Min Jae Kang. Sa mère avait encore trouvé une excuse pour que le père le frappe. C’était toujours le cas. Ils n’apprécient guère qu’elle l’aime. Après tout, Min était une mauvaise influence. Un déchet qui aurait dû disparaitre. Il profitait de la petite. Il voulait l’influencer pour qu’elle s’éloigne d’eux. Toutes excuses étaient bonnes pour lever la main sur le petit. La porte s’ouvrit sur un visage épuisé et délaver. Pourtant, la petite accourut vers son frère pour lui sauter au cou. En le trainant vers son bureau pour lui montrer son tableau de présentation oral. C’était un choix juste pourtant de ne pas avoir choisir l’un d'entre eux. Car les monstres ont causé de nouvelles marques de blessure sur celui qu’elle idolâtre.
· anecdote 4 ; Naître avec une cuillère en or dans la bouche n’est pas significatif d’avoir une famille aimante. Chez les Kang la perfection est de mise. Il s’agit peut-être d’un clan digne d’une caricature de mauvais goût, mais l’importance de la droiture, la réussite, la vie sociale et la richesse sont cruciales. Bien que l’image reflétée par les biens soins des chefs viennent contrarier la situation existante . Madame Kang impose alors des cours extrascolaires à Haera venant lui couper toutes vies sociales. Son horaire ne pouvait être détourné, tout est programmé à la ligne qu’il s’agit de ses cours de : violon, piano, chant, danse (Gainjeonmokdan, ballet) , équitation, débat, français, espagnol, mandarin, étiquettes, taekwondo. Cet horaire surcharger commençait aux petites lueurs du matin, 7 am et se terminait tardivement autour de 21 pm. Coupant tout loisir ou possibilité à Haera de se faire des amis. Aux yeux de la marâtre, sa fille avait tout pour rendre jalouses les autres femmes du hunt club. Plus qu’on citait le nom de sa princesse, elle pouvait prétendre garder son trône des Housewives.
· anecdote 5 ; Fort heureusement que sa mère ne pouvait pas la voir. Cette crise hystérique qu’elle piquerait. Lors d’une sortie pour une compétition de danse, elle avait osé se lier d’amitié avec une autre fille. Loin des bonnes fréquentations mises de l’avant par ses géniteurs. Haera avait réussi à mentir pour la première fois. Elle qui avait à peine tourné la page sur ses dix-sept ans. Lors des festivités chez son ami, elle n’aurait pu croire une seconde que les révélations émises par ce regroupement lui feraient comprendre certaines réalités de sa vie. Loin d’être une esclave, mais un bon toutou. Une personne maintenue en servitude, propriété d’une autre, totalement soumise à la domination de ses parents. Dans les faits, nous pourrions supposer que de bons termes pourraient mieux catégoriser son comportement auprès de sa famille. Une sainte nitouche ? Elle qui n’avait jamais commis de folie ni même osé tenir tête à ses parents. La voilà qui joue la carte de l’influençable. Prenant la porte des défis pour prouver qu’elle n’a rien de cette fille coincez de bonne famille. Elle avale un verre après l’autre, s’enferme dans le placard avec un inconnu pour y ressortir les lèvres gonflées par un baiser rugueux. Les folies ne cessent de s’accumuler. Pourtant alors que d’entre eux se penche en avant pour l’embrasser, ce qui la surprend. Au premier contact avec ses lèvres, un gémissement s’échappe. Elles ne pouvaient croire ses yeux. Il est si agréable de pouvoir voler un baiser. Elles sont douces et ont le goût de rhum. Il glissa la main dans son cou, il l’attire vers elle pour approfondir l’échange. Haera tends la langue pour toucher la sienne, provoquant chez lui un gémissement qui vient de la bête endormie. Sa main glisse sous le haut de la Coréenne pour caresser ce bout de chair caché par le tissu. À cet instant, son alarme intérieure s’alluma. Elle tente de s’écarter, mais il refuse. Laissant le baiser devenir agressif. Bien trop animale pour cette vierge. Le repoussant plus violemment, il percuta le coin de la table. Elle l’observe et ne réagit plus. « Connasse ! » Kang figea sur place. Le voyant se relever tous ses sens lui reviennent. La peur grimpe en elle. Ses yeux ne quittent plus les iris qui brulent entre le désir et la vengeance. L’enflure qui se retrouve sous sa ceinture laisse bien paraitre l’excitation naissante. La crainte d’être prise par force lui fait comprendre le danger de la situation. Haera s’enfuit de la chambre en courant. Prenant son sac à dos au passage s’enfuyant devant ses amis qui écoutent les insultes du jeune homme. Parcourant une de rue de Harlem, elle s’arrêta dans une ruelle pour se cacher. Son dos glisse le long du mur de pierre et ses fesses percutent le gavé froid. Ses genoux se rapprochent de sa poitrine alors que la peur reste présente. Ce n’est au bout de quelques minutes qu’elle prend le courage de téléphoner à une personne de confiance Min Jae.
· anecdote 6 ; Haera n'est pas prisonnière d'un château mystérieux et d'une bête assoiffée d'amour. Malgré qu'elle soit toujours le nez plongé dans un livre pour ignorant ceux qui l'entourent. Elle se promène en basculant ceux marchant sur sa route. S'excusant brièvement. Loin de la politesse requise par les normes de l'humanité. Un simple pardon fuyant pour disparaitre en quelques secondes. Toutefois, il y a eu un accident qu'elle ne pourra pas se pardonner. Il aurait été normal de s'arrêter à la lumière. Sauf qu'elle ne le fit pas. Alors que la lumière venait de changer pour laisser les voitures circuler. Kang traversa en se faufilant entre les personnes. Traversant la route en revenant sur terre alors que klaxon. S'arrêtant en plein milieu. Levant la tête et regarder la voiture dévier de sa route pour percuter un autre. Gênée de la situation, elle se mit à courir. Fuyant la réalité et sa faute. Ne cherchant pas à vérifier l'état des conducteurs ou du passager. Est-ce qu'elle le regrette ? Pas réellement. Est-ce qu'elle a appris... un peu, sans plus.
· anecdote 7 ; L'amour n'est qu'un sentiment méprisable. Un regret constant venant nous perturber dans notre cheminement personnel. Il s'agit d'un jeu de chance. Un petit coup de poignet pour laisser notre main s’ouvrir sous des dés tombant contre la table. Bondissant dans un petit bruit sonore. Haera n'y croit plus. Avoir été si souvent utilisé comme une excuse, un objet, une fétichiste. Toutefois, la trahison là si souvent détruite. Abandonner son premier amour par orgueil ou plutôt par fierté est venue la détruire. Aujourd'hui, son jeune âge devient un atout. Prenant ce penchant d'être un simple jouet à son avantage pour accumuler les aventures d'un soir. Laissant sa fierté de côté que pour connaitre le plaisir charnel. Sa seule tendance qui lui permet de sortir du chemin d'or.
· anecdote 8 ; La nostalgie s'installe peu à peu en elle. Prenant une place importante à la table des invités. Mise à l'écart. Délaissez-en ce temps festif qui se rapproche. Il n'a plus rien pouvant illuminer sa joie dans le temps des fêtes. Une faiblesse qui se dessine sur ses traits alors que Noël arrive à sa porte. Sans oublier dans un coin de la pièce la nouvelle année qui s'incruste sans préavis. Ennuyeux ! Un simple regret qui s'associe au manque d'un membre de famille important. À ce moment de l'année, Haera devient une comédienne. Son masque bien en place sous son sourire de bonne fille. Les gens sont assis autour de la table. Les invités oublient la présence de son frère. Le vilain canard. Ils rient, ils fêtent en ignorant ce fait. Un petit nuage noir vous entourant. Elle se referme sur elle pour se revêtir d'une peau verte et l'esprit haineux de Noël. Un simple Grinch qui vous gâchera qui aimerait gâcher Noël. Pourtant, elle ne commettra jamais d'erreur. Pas cet enfant si souvent mis sur un être mis sur un piédestal. Comment pourrait-elle mettre la honte à son père et sa mère...
· anecdote 9 ;La lueur éclaire ses mains dont les doigts bondissent sous un faible claquement sonore. Un tic, tic continuel. Venant briser le silence qui voulait prendre place dans la noirceur du lieu. Encore une nuit. Son corps ne pouvant retourner s’éloigner de cette demeure. La voilà prise de nouveau sur une chaise inconfortable. Ses yeux fixés sur cet écran illuminant son visage aux traits fatigué. Les mots s’ajoutent sous son regard pris par ses rêveries. Son imagination l’aidant à performer. Le désir de réussir qui la brûle de l’intérieur. Une boisson énergisante à sa gauche et son portable à sa droite. Sa chambre de ce lieu de prédilection. Loin de son ancienne renfermant des souvenirs dignes d’une mauvaise hantise perturbant son âme. Sous une brise froide, les images d’une vie passée lui parviennent. Seigneur que sa tête aurait voulu se déposer sur le coussin moelleux de son oreiller. Un long soupire s’échappe d’entre ses lippes et une main quitte son clavier pour passer l’une de ses tempes douloureuses. Vivre ou ne pas vivre là est la question. Il aurait été si simple de vivre de ses propres rêveries. Ne pas entreprendre celle de ses parents. Elle prend une grande respiration et regarde son écran. Ce n’était pas le meilleur choix, mais pour son esprit ne voulait défier le grand chef des Kang. Comment pouvait-elle pensé ne pas suivre les traces de son père pour vivre de ses propres rêves. Comme quoi la médecine la dégoute. Elle aimerait pouvoir maquiller et coiffer les plus grands noms de New York. Pourtant, Haera ne peut pas se détourner de cette route tout bien tracer. Elle n'est pas folle. Sa respiration se fait lente. Son dos glisse contre le dossier de sa chaise, sa tête chute vers l’arrière. Écrire ce son projet l’épuise. Maudissant de toute son âme, sa lâcheté. Se redressant, elle recommence à écrire. Elle aimerait tout quitter tout pour mieux recommencer. Neuf heures, il a fallu neuf heures pour terminer d’écrire ce texte. Une main se dépose dans son dos et une voix lui murmure à l’oreille. Une voix douce et chaleureuse. Ouvrant les yeux sur ses bras croisés, elle regarde son frère en lui demandant l’heure. Encore endormis. Prise dans un sommeil réveiller. Une nuit réparatrice dans une position que son corps lui fait regretter. Des courbatures douloureuses lui tirent un grognement de mécontentement alors qu’elle s’étire en saluant la Minjae. Devant elle, un café bien chaud et un croissant au beurre. Son sourire s’élargit en le remerciant. Il est sa bouée qui l’empêche de tout abandonner. Un jour, elle pourra vivre librement et peut-être tout comme lui sans le regard des parents.

· anecdote 10 ;La fraicheur de la nuit caresse sa peau dénudée de son cœur.
Laissant une vague étincelle picoter son épiderme. Venant remonter le long de son corps vers sa nuque. Son souffle chaud qui frôle ses lèvres faisant doucement apparaitre un nuage blanchâtre devant sa bouche. Ses yeux fixent l’immeuble d’un regard rempli d’appréhension, examinant son revêtement en briques brunes et ses fenêtres encrassées. Ce n’était pas l’immeuble luxueux de ses parents, c’est sûr. Haera pourrait s’apitoyer sur son sort. Maudissant ce choix non censé qu’elle venait de prendre. Sauf que ce concept serait nouveau pour elle. Dire que normalement, sa petite personne est habituellement une femme forte, déterminée dont rien ne pourrait être reproché. Il faut bien, vu ceux qu’ils l’ont éduqué. Un héritage imposé sans compromis. Une dictature stricte qui ne pouvait être détournée. Haera pensait avoir beaucoup de volonté et ne pas avoir peur de rien. Sauf qu’il lui est impossible d’être brave ou pouvoir parlé librement. Pour parler sans mâcher, ses mots font partie de son rêve. Pouvoir parler de ce qu’elle ressent sans jugement. Se tenant devant l’immeuble, la jeune femme cherche un côté humoristique dans la situation. Il y a peu, une réalité cachée avait fait surface. Venant détruire son univers. Prise de partie entre des parents violents et un frère détruit, humiliés. Ce monde qu’elle croyait parfait venait de se briser. Son cœur bat rapidement, la salive disparait, l’inquiétude grimpe, ses jambes faiblissent. Pourquoi n’avait-elle pas pu comprendre plus tôt ? Pourquoi n’avait-elle pas réalisé que son père levait la main sur son frère ? Est-ce qu’elle aimait ses parents ? Bien sûr ! Sauf qu’il lui est impossible à rester dans la maison familiale. Mais, il y a une première fois pour tout parce que la voici, la queue entre les jambes. Elle avait foncé tête baissée. S’apitoyant sur sa stupidité. Plutôt pathétique, en fait. L’étudiante n’avait même pas le courage de confronter ses parents sur le sujet. Elle fuit mentant sur la raison de son déménagement. Créant un mensonge parfait. Prétendant vivre en cohabitation avec une autre coréenne de bonne famille. Évitant de devoir encore sourire à sa mère et son père. Pour ce mensonge, elle aurait cru pouvoir venir vers son frère sans craindre un refus. Il lui avait bien proposé une chambre dans le passé. Non ? Ce n’est pas la première fois qu’elle se retrouve chez lui, mais venir avec deux valises oui. Elle avançant dans le couloir, elle réalise que la nuit venait la détourner de la réalité. L’air las, le poing tendu, elle toque trois fois. Un déclic se fait entendre. La porte s’ouvrit sur le visage familier. Un petit sourire crisper, Haera regarde ses valises puis son frère : Est-ce que la proposition de la chambre est toujours actif ?

état du casier judiciaire ; est-ce que ton personnage a déjà été interpellé par la police ? et si oui, pour quelles fautes ? ⤷ Il serait impardonnable envers la famille Kang de commettre un quelconque acte criminel pouvant apporter la honte. La structure réglementaire émise au sein de clan ne pourrait pas permettre une telle erreur. Son dossier reste vierge. Aucune tâche pouvant salir sa personne tout comme celle de ses parents. Il y a peut-être la peur de décevoir qui l’empêche d’emprunter cette route.

signes particuliers ; est-ce que ton personnage a des tatouages, des cicatrices, des habitudes ou des tics qui permettraient de le différencier des autres ? ⤷ Son corps se laisse surprendre par une bouffée de chaleur. La sueur grimpe en elle. Une perle longue sur son front pour caresser la courbe de sa mâchoire. L’anxiété vient dessiner les traits de son visage. Son cœur qui tambourine dans sa poitrine lui arrache un pincement facial. Combien de fois cette sensation inconfortable s’empare de tout son être. Son pouce glissé contre ses lèvres, son ongle percute sa langue pour s’appuyer contre l’intérieur de sa joue. Ses dents viennent appuyer si fermement sur la rondeur de ce doigt pour être mâchouillées. Elle panique. L’inconfort la quitte plus. Son pouce est si souvent blessé. Cacher sous un pansement pour camoufler la rougeur et le sang. Ses mains laissent apercevoir les signes constants de stress entre le pouce qu’elle mâchouille lors des examens ou les réunions de famille tout comme lors de rendez-vous arranger. Ou les jointures ouvertes sous des plaies ou une enflure causée par les signes de Russell.

what's up new york ; depuis combien de temps ton personnage habite t-il new york ? que représente cette ville à ses yeux ? ⤷ Cette ile touristique fut la première à l’accueillir dans ce monde de pourriture. Née à Manhattan, elle ne comprend guère tout l’intérêt qu’on peut porter pour cet état américain qui la répugne. Cette ville est son lieu de paix. Sa résidence permanente bien que cette ville n’est pas son premier amour. Elle rêve de pouvoir la quitter et s’établir sur une autre terre. Hélasse, Haera ne veut pas quitter sa famille.

the purge ; est-ce que ton personnage est pour ou contre ? qu'en pense t-il ? ⤷ L’alarme sonne. La peur grimpe en elle. La crainte de voir la porte de l’appartement s’ouvrir de force lui retourne les entrailles. Pourquoi autant de barbarie aide à tout contrôler ? Un meurtre ne reste pas un meurtre ? Laisser les citoyens anéantir par simple désir de vengeance n’est pas normal. Prise entre la compréhension et le dégout. La purge reste une chose complexe à ses yeux. Elle est contre, mais pour en même temps. La décision finale envers cet évènement annuel n’a rien de concret. Elle n’a pas de réellement de jugement. La gamine cherche plutôt à ne pas en parler. Ignorer et se cacher lorsque le jour arrive. Tout en priant de ne jamais voir une personne venant pointer une arme sur elle.

pseudo Mizzannapronoms She/herpersonnagepréliencréditslarmestendres & moonaetics

13/08/2022

( # )Lun 8 Jan - 19:18

mais qu'elle est trop mimi. et le prélien de minjae en plus, non c'est trop j'sais d'avance que j'vais chialer devant cette fiche. Pepecry

courage pour la rédactioooon! si tu as la moindre question n'hésite surtout pas! amour

je file te réserver minji pour 7j!

• • •

― light em' up ⋆¸.•*
everybody praying for the end of times

( # )Lun 8 Jan - 19:37

Le visage d'ange parfait pour ce personnage "douillet". ange

HA ! Non ! Faut pas pleurer ! 382148997

~~*Donne un mouchoir*~~

Merci ! Si, j'ai la moindre question. Je vais venir toquer à ta boite de mp. 1599218163

31/12/2023

( # )Lun 8 Jan - 20:03

iiiiiiiiiiii !!
Encore bienvenue, j’ai hâte!! 382148997

• • •

✧ deepest sigh ever

( # )Lun 8 Jan - 20:09

@Minjae Kang Merci !!!!!!!!!!!!!!!!!! 1289875849

Prépare-toi ! La casse-couille à la bouille d'ange débarque ! (Aimant à problèmes. ange

)

11/07/2023

( # )Lun 8 Jan - 22:07

Oh non, mais ce petit ange ouin

-- on a envie de la câliner et l'aider à arrêter la médecine pour son bien.
Bienvenue parmi nous, avec ce choix de prélien, j'ai hâte de lire vos aventures avec Minjae o/
Bon courage pour la rédaction de ta fiche flamme