Gabrielle Donovan - Nous sommes tous fous ici, je suis fou, vous êtes folle!

( # )Ven 26 Jan - 3:44

Gabrielle Ava Donovan

ft. India Eisley

Alcoolisme, Violences familiales, décès, suicide, harcèlement moral

nom(s)Donovan prénom(s) Gabrielle Ava date de naissance 20/06/1998 lieu de naissance New-York, États-Unis occupationEtudiante groupe Heaven

nom(s) & prénom(s) ; Cinquième enfant du couple, c'est le moment où l'inspiration pour les prénoms commence à s'essouffler. Maman n'a pas dû lutter pour imposer les prénoms à un papa qui, à dire vrai, n'en avait pas grand chose à cirer. Gabrielle, elle trouvait ça joli, et Ava, pour Ava Gardner. Elle a souhaité à son bébé d'être aussi belle et intelligente qu'elle, pour que tout lui sourie dans la vie. Pour ce qui est de la vie qui lui sourit, Gaby, comme l'appellent les intimes ou les moins intimes, ne saurait trop le dire, mais elle, elle sourit à la vie, c'est déjà ça!

date & lieu de naissance ; Un hôpital du Bronx, au solstice d'été 1998. Une femme donne naissance à son cinquième enfant. Le père arrive à la fin du travail, partage moins la plénitude de sa femme. Il faut dire, l'exercice, il connaît, et il n'a jamais été bon là-dedans. Il fait bonne figure, donne un biberon, change une couche, mais au final, c'est beaucoup plus sur ses plus grands enfants, aussi injuste que cela soit, que maman doit s'appuyer pour s'occuper des plus petits, pendant qu'elle se charge du nouveau-né. Longtemps, il en ira ainsi, Gabrielle occupant tour à tour les rôles de baby-sittée puis de baby-sitter.

nationalité & origines ; Papa est américain, maman est australienne, mais c'est bien sur le sol américain qu'elle est née. Gabrielle jouit d'une double-nationalité, pourtant il lui est difficile de se sentir proche de l'Australie tant elle est attachée aux Etats-Unis, et à New-York en particulier, qu'elle voit comme la terre de tous les possibles.

statut civil, orientation, genre & pronoms ; Le caractère, parfois décrit comme lunaire, de Gabrielle fait d'elle une créature de sens et d'esprit. Pour qu'elle se laisse aller à la bagatelle avec un tiers, il faut non seulement qu'il sois capable de parler à tous ses sens, ce qui est déjà complexe, mais il faut aussi éveiller l'intérêt de son esprit. Gabrielle a donc connu très peu d'hommes dans sa vie, ignore s'il serait possible qu'un autre genre l'attire, mais se ressent pleinement femme, en ce qui la concerne, au moins, ça, c'est une certitude!

occupation ; Gabrielle s'est longtemps demandé ce qu'elle pourrait faire de sa vie. C'est que, malgré sa manie à toujours être dans la lune, elle s'est toujours montrée plus intelligente que la moyenne. Elle a glissé à travers ses études, sans efforts, au point d'avoir le choix entre plusieurs universités, dont une Ivy league! Assez bonne pour y rentrer, pas assez bonne pour une bourse. Elle a dû abandonner la Ivy league pour se rabattre sur moins cher, et bosser pour payer ses études. Quitte à bosser, Gaby voulait que ça ait du sens. Elle s'est donc faite embaucher au Roaring Rescue, l'endroit rêvé pour une aspirante vétérinaire.

association ; Blue Corp. Prendre soin des autres est une expression naturelle du code générique de Gabrielle, c'est quelque chose qu'elle a de profondément ancré dans son être, mais prendre soin des animaux est encore un stade au-dessus de ça. Gabrielle ne croit pas à la modernité, malgré ses miracles, et rêve d'un monde où eux-mêmes, les humains, apprendraient à être d'avantage en phase avec leurs parts animales, parce que les animaux ont énormément à leur apprendre sur eux-mêmes. Gabrielle aime tous les animaux, sans exception, et si devenir vétérinaire n'a pas toujours été son rêve, il s'est développé et a fini par s'imposer comme une évidence.

traits de caractère ;[+++] Généreuse, Volontaire, Empathique, Dynamique, Solaire
[---] Réservée, Secrète, Peu sûre d'elle, Capable de pics de colère (rares, mais mémorables), Lunaire

· De 0 à 3 ans ; Pour une mère de cinq enfants, infirmière de son état, Gabrielle est l'enfant idéale. Elle se contente de manger et de dormir. C'est un bébé tellement calme que sa mère l'a déjà pincée pour la réveiller, trouvant qu'elle dormait trop! Si son développement de mobilité est tout à fait classique, son développement du langage est beaucoup plus flou pour les parents. En effet, Gabrielle ne parle toujours pas, à passés trois ans. Convaincus qu'elle est sotte, ses parents l'emmènent consulter des spécialistes qui leur disent tous la même chose: leur fille va très bien, elle parlera quand elle sera prête à le faire. Seul le recul aurait pu permettre à maman de comprendre que ce retrait vient d'un naturel beaucoup trop timide à l'idée de prendre de la place dans une fratrie déjà grande, auprès d'aînés dont les âges les poussent à voir la cadette comme un fardeau. Le sentiment d'être un fardeau collera à leur fille toute sa vie.
· 3 à 6 ans ; Gabrielle a presque 4 ans quand elle se décide enfin à parler, autour de la naissance de son petit frère. Les phrases qu'elle construit sont déjà complexes, et il est aisé de comprendre que pendant tout ce temps, l'enfant a appris, assimilé, un certain vocabulaire, et est capable d'exprimer des idées, d'aborder des concepts sensés être trop avancés pour son âge. Il y a fracture entre elle et les enfants de son âge. Profondément empathique, Gabrielle ne connaît pas la duplicité et découvre beaucoup trop tôt l'hypocrisie, ce qui la marque profondément. Déjà à cet âge, elle préfère être seule que mal accompagnée, ce qui la rend, par défaut, faute de partenaires de jeu avec lesquels résonner, très solitaire.
· 6 à 10 ; Gabrielle adore passer du temps avec ses petits frères, les deux derniers de la fratrie. Elle aime s'occuper d'eux, et leur donner le trop plein d'amour qu'elle à distribuer, n'ayant personne d'autre pour en profiter. Elle les traite comme elle aurait aimé que Prof, qu'elle admire, la traite, sans jamais oser le lui dire. Thomas joue le même rôle pour elle, et elle l'aime de tout son petit cœur pour ça. Petit modèle, elle est sans cesse rabrouée par ses camarades de classe qui la conspuent de surnoms infantilisants, un comble de la part de si jeunes enfants! Gabrielle comprend très vite qu'il ne sert à rien d'argumenter avec eux, alors elle se renferme à nouveau dans le silence, sauvant ses mots pour ceux qui en ont réellement quelque chose à faire. Son esprit, agile et imaginatif, lui permet d'intégrer la lecture et le calcul avec beaucoup d'aisance. Socialement, gamine, Gaby est déjà une catastrophe, mais il est rapidement évident pour tout le monde que, à priori, les études, pour elle, ça va aller...
· 11 à 15 ; Les prémices de l'adolescence sont aussi difficiles à vivre qu'on puisse l'imaginer dans un monde hyper sexualisé pour une jeune femme qui, en plus d'être plus petite que la moyenne, est une "late bloomer", dont les formes tardent à se développer et à reformer sa silhouette pour passer de celle d'une enfant à celle d'une femme. A cet âge, Gabrielle est une ruine, malgré l'allure dynamique et enjouée qu'elle aborde, envers et contre tout, décidée à être une force positive dans ce monde. Dieu seul sait où elle trouvait l'énergie, alors qu'elle a dû se construire sans la moindre estime d'elle-même, invisible à la maison sauf aux yeux d'un père alcoolique et violent, invisible à l'école parce que vue comme étant en retard à cause de son physique, alors qu'intellectuellement, elle claquait au sol tous ses camarades de classe, invisible aux yeux d'un monde trop grand et qui va trop vite pour elle, parfois. Définitivement petite nerd ayant, malgré elle, longtemps ressemblé à un poussin tout juste sorti de son œuf, Gabrielle est une toute jeune fille rêveuse, souvent calfeutrée à la bibliothèque, le nez dans des romans fantasy. Elle de ceux qui aiment à nourrir, à outrance, leur imaginaire et il n'y a rien qu'elle aime autant que de se perdre dans des mondes lointains, parce que, vraiment, le monde réel, il craint.
· Purge 2016 ; Thomas, son frère aîné, ce qui s'approche le plus d'une figure paternelle, aussi fucked up que ça soit, pour Gabrielle lui est enlevé. Elle a le choix. Soit elle vrille, part en toupie, en colère contre le monde entier et brûle tout jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien pour exorciser son sentiment d'injustice, de peine, de haine... Soit elle chérit le souvenir de son frère, et chérit ceux qui restent, plus fort encore, parce qu'elle a conscience maintenant d'à quel point l'horreur qu'est cette purge est réelle. Elle n'a pas d'autre choix que d'en accepter la réalité, ce qui la chamboule gravement. Pis encore lorsque maman, dévastée par la mort de Thomas, incapable de continuer à vivre avec la perte de l'un de ses enfants qui, malgré ses absences répétées, étaient le centre de son monde. Cependant, Gabrielle étant Gabrielle, elle ne laisse pas voir à qui que ce soit à quel point elle est dévastée, faisant, seule, son travail de deuil, gravissant les marches une à une, redégringolant parfois de plusieurs avant de les remonter... Son travail n'est pas linéaire, mais toujours dans le bon sens. Par défaut, consciente que l'alternative la détruirait, Gabrielle choisit d'opter pour la philosophie de Dory et de "marcher droit devant elle".
· 16 à 21 ; Si elle reste plus petite que la moyenne, Gabrielle devient réellement une adolescente, puis une jeune femme. Son style vestimentaire change, elle s'habille de choses plus près du corps, qui flattent d'avantage sa silhouette gracile et ses rondeurs harmonieuses et féminines. Elle se coiffe, aussi, souvent de tresses extravagantes auxquelles elle adore mêler plumes, trinkets, cheveux d'ange... et collectionne les piercings... Aux oreilles! Gabrielle ressemble à une fée perdue dans un monde qui n'est pas le sien, sortie tout droit d'un livre de Donjon et Dragon. Si elle est toujours aussi nerd, la puberté finit par la frapper, assez violemment, sur le tard, et emballe ses hormones, ce qu'elle peine à gérer. Loin d'enchaîner les partenaires, elle a plutôt tendance à tomber amoureuse comme on tombe d'une chaise, ne connaissant jamais ce sentiment de pureté sensé nous élever. Intellectuellement, en terme de maturité émotionnelle, encore une fois elle claque au sol l'écrasante majorité des jeunes de son âge. Le gap entre elle et eux et encore présent, mais l'expansion graduelle de son monde lui permet d'accrocher avec une bande de gens tout aussi nerds qu'elle, qui l'initient aux jeux de rôles papier. Elle passe donc beaucoup de ses week-ends adolescents à vivre dans un monde imaginaire tout en mangeant de la malbouffe. Toujours aussi studieuse, ses notes déglinguent. A tout juste seize ans, elle se met à la recherche de son premier job, étudiant bien sûr, par esprit d'autonomie, souhaitant ne devoir demander à personne pour avoir de l'argent, et surtout pas à ses parents. Elle se présente au Roaring Rescue juste après la première purge, alors que le centre essuie les conséquences de la première purge. Ayant besoin de tous les bras disponibles cherchant à aider, et Gabrielle n'ayant vraiment pas d'exigences salariales contraignantes, en plus du pitch dynamique et motivé auquel le nouveau propriétaire, fils des deux précédents, décédés durant la purge, l'ont faite rayonner comme un profil incontournable à avoir dans son équipe. Elle se fait embaucher, et c'est en bossant là-bas que se développe, assez rapidement, l'envie, puis le besoin, de devenir vétérinaire, apprendre à soigner les animaux devenant un sacerdoce. Cette activité extra-scolaire et son degré d'implication (elle travaille au sheltter toutes les semaines en week-end, tous les congés scolaires, et dès qu'elle le peux) est ce qui lui ouvre les portes de Yale, en médecine, à laquelle elle postule "pour le fun". Devoir y renoncer, faute de moyens financiers et d'obtention de bourse est, à ce jour, ce qui l'a rendue le plus amère de toute sa vie, et a très profondément ancré la haine de l'argent dans le petit corps de Gabrielle. Une bourse, elle a eu ce qu'il fallait pour en décrocher une auprès du New-York Medical College, ce qui lui permet de poursuivre ses études à New-York, et de poursuivre son travail au Rescue. L'ombre au tableau, c'est, comme toujours, papa, papa aux abois après la mort de maman, papa qui peine à trouver de l'argent, papa qui finit par comprendre, pas idiot, où en trouver et l'enfer personnel de Gabrielle commence peu de temps après son Paradis. Papa se met à harceler Simplette, à la faire culpabiliser en utilisant ses cadets, lui serinant que c'est de sa faute s'ils n'ont rien à manger, qu'elle est égoïste et la pire sœur/fille qui existe, usant de coercion jusqu'à ce qu'elle lui donne tout ce qu'elle a, autant parce qu'il l'a convaincue, que pour le faire taire, que par la plus dévorante des culpabilités. Avec le temps, Simplette avait appris comment esquiver son père et ses crises, mais maintenant que sa mère n'est plus là pour pouvoir aux besoins de la famille, il a besoin d'une nouvelle vache à traire, et qui de mieux que sa jeune fille?
· 22 à 25 ; Gabrielle essaie tant bien que mal d'évoluer dans cette ville, qu'elle trouve de plus en plus folle. Sans son sacerdoce, l'énergie qu'elle peut mettre dans le soin aux animaux, acte qui a du sens pour elle, elle sait qu'elle perdrait la tête, ici. Perdre la tête, elle se demande si ça va lui arriver avant chaque purge. Loin d'y participer d'une quelconque façon, Gabrielle est plutôt du genre à se calfeutrer jusqu'à la fin de ces heures sombres. Elle reste au Shelter malgré tout, consciente des risques que ses pensionnaires encourent après la première purge, et se tient prête à secourir n'importe quel animal si elle le doit, aux côtés du propriétaire.
· Et maintenant...? ; Maintenant, c'est le bordel. Il y a une semaine, exténuée par ses heures et révisions scolaires, Gabrielle n'avait plus la patience pour écouter son père, et lui a tenu tête. Il l'a battue, plus fort que d'habitude, assez pour que, cette fois, ça laisse des marques sur son visage, zone soigneusement évitée d'ordinaire. Gabrielle tient bon, et retourne au travail. Elle élude le sujet, prétexte une chute dans les escaliers quand son patron la questionne. Mais papa franchit la limite de trop. Frustré par la résistance de sa gamine, de laquelle il n'a pas obtenu le pécule comme d'habitude, il se pointe au Shelter et va acculer Gabrielle dans un coin dès qu'il se sent suffisamment discret pour le faire. Sa grande main se resserre comme des griffes sur le bras de la gracile Gabrielle, qui grimace de douleur, lui demandant de la laisser retourner travailler. Elle boucle, la jeune femme, incapable de processer ce qui est en train de se passer, un morceau d'enfer au paradis, que se passe-t-il? Désarçonnée, elle se raccroche à la seule réalité qu'elle connaisse au Shelter: prendre soin des résidents. Alors elle répète en boucle "Lâche-moi, j'ai du travail...". Le patron finit par entendre, et entrer en scène. Bien plus décisif que son employée, il chope papa par le col et lui donne un petit goût de sa propre médecine. Papa repart amoché, mais sur ses deux jambes, son regard promettant à Gabrielle qu'elle paierait tout cela dès son retour chez elle. La terreur à cette idée est cependant de courte durée, puisque, tel un chevalier blanc en armure, le patron a imposé: "tu ne remettras pas les pieds chez toi sans moi. Tu restes ici, et je t'interdis d'y retourner, c'est clair?" Gabrielle a sobrement acquiescé, les entrailles tordues à l'idée qu'il se venge sur ses cadets. Elle va devoir faire quelque chose pour eux, ou faire quelque chose contre leur père, mais quoi...?

état du casier judiciaire ; Gabrielle n'a jamais été interpellée par la police. Elle n'a jamais commis d'infraction, et n'a pas le profil du délit de "sale gueule", son casier est donc vierge.

signes particuliers ; ⤷ La peau de Gabrielle serait virginale sans les coups reçus par son père, ni les quelques estafilades desquelles elle a pu écoper en manipulant des animaux contrariés. Elle ne s'imagine pas se tatouer. Devenue caméléon par instinct de survie, Gaby est la plus lambda des lambda, possédant un peu tous les tics du monde sans vraiment en posséder aucun. Parfois elle mâchouille le bout d'un stylo, parfois elle joue avec ses cheveux, parfois elle grignote le bout de ses doigts à cause du stress, parfois, c'est sa jambe qui tape comme Panpan. La seule chose qui mériterait peut-être d'être mentionnée est sa propension à garder son calme, quoiqu'il arrive (ce qui rend ses colères d'autant plus surprenantes!)

what's up new york ; ⤷ Née à New-York, cette ville, et un peu du New-Jersey, est tout ce qu'elle connaît du monde qui ne soit pas en photo. Cette ville, elle en connaît tous les recoins, les moindres blocs, de Princeton à White Plains, en passant par Long Island. Plus que chez elle, cette ville est son monde.

the purge ; est-ce que ton personnage est pour ou contre ? qu'en pense t-il ? ⤷ La purge est sujet que Gabrielle n'évoque pas, ou rarement. Elle fuit les conversations qui en parlent, comme si elle essayait de nier l'existence de cette horreur de sa réalité. Ce qui n'était qu'un petit sentiment d'inconfort est devenu une sensation d'être écorchée vive depuis la mort de Thomas. Rien que l'évoquer lui est pénible, alors elle ne l'évoque pas, jamais. Gabrielle a sa façon à elle de faire son deuil, une façon toute interne, qui lui donne l'impression d'héberger un trou noir dans son petit cœur tout mou. Pour éviter que le trou noir ne devienne un quazar et ne grille tout ce qui l'entoure, elle le garde gentiment à l'abri, derrière ses sourires, derrière les petits plaisirs de la vie qui continue, et qui tente d'enterrer tout ce merdier bien à l'abri, au fond du fond de l'inconscient de Gabrielle. Elle déteste la purge, déteste tout ceux qui s'y sont adonnés par plaisir, déteste ceux qui lui ont volé son frère, déteste tout ce qui entoure ce rituel barbare, mais Gabrielle est aussi quelqu'un de très pragmatique sur cette question très précise: elle n'a aucun pouvoir de faire changer les choses, alors elle essaie de faire de son mieux pour les accepter plutôt que de se battre contre des moulins à vent. Elle ne peut sauver personne de la purge, mais les animaux mal traités, eux, elle peut les aider. Alors c'est là-dessus qu'elle se concentre, et au diable cette maudite purge!

pseudo Aromatic Elixirpronoms Ellepersonnageprélien d'@Oscar DonovancréditsThe Squirrel Art, Neverland

06/01/2024

( # )Ven 26 Jan - 4:53

hey there, sweet little thing

10/12/2023

( # )Ven 26 Jan - 7:35

Une Donovan youpi

Ouiiiiii

Tu refais ma journée. Bienvenue sur SOB en tout cas.

je te réserve ton avatar pour 7 jours.
Si tu as la moindre question que ce soit concernant le Forum ou le PL, mes MP sont ouvert. flamme

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― il l'aimait trop ⋆¸.•*
trop bien, trop mal, trop n'importe comment peut-être, mais trop.

13/01/2024

( # )Sam 27 Jan - 2:20

Welcome welcome koeur

11/01/2024

( # )Dim 28 Jan - 8:27

Bienvenue parmi nous koeur

Et bon courage pour la suite de la rédaction de ta fiche ! smile

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I've made some real big mistakes
But you make the worst one look fine

13/08/2022

( # )Dim 28 Jan - 14:20

une donovaaaaaaaan. choupette. koeur

bienvenue parmi nous (et avec un prélien d'enfer moustache

)
j'crois aussi comprendre que cette petite sera lié à notre james international

hâte de voir tout ça en jeu!
courage pour la rédaction et si tu as des questions, n'hésite pas! star

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― light em' up ⋆¸.•*
everybody praying for the end of times

James Kingsnorth aime ce message

( # )Dim 28 Jan - 19:49

James >

Oscar > Merci! Trop contente à l'idée des sujets à venir! Quelle famille! drame

Ophelia > Merci 884440450

Joyce > Merci beaucoup! ^^

Sixtine > Yes!! Toi et moi on est belles-soeurs, j'espère que tu seras d'accord d'avoir un lien et de jouer avec moi, parce que j'ai lu un peu votre histoire avec le grand frère, et c'est ma new telenovela fav! drame

31/12/2023

( # )Dim 28 Jan - 20:53

bienvenue bg star

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✧ deepest sigh ever

13/08/2022

( # )Dim 28 Jan - 21:15

@Gabrielle Donovan MAIS AVEC GRAND PLAISIR.
pire que les feux de l'amour t'inquiète même pas. plus belle la vie à côté c'est du pipi d'chat. 1282746725

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― light em' up ⋆¸.•*
everybody praying for the end of times

10/12/2023

( # )Dim 28 Jan - 21:24

bienvenue !

tu viens d'être validé.e, et maintenant ?

Le syndrome marche droit devant toi. J'ai ris En tout cas que dire de cette fiche alors qu'elle est simplement parfaite. Tu as apporter encore plus de profondeur à la famille Donovan et compris les bases de ce que j'imaginais pour la petite donc c'est avec un immense plaisir que je te valide. Hâte et RP avec toi mais aussi hâte de vous suivre avec James. Ca lui fait pas de mal au vieux de se prendre une raclée.

Maintenant ? Eh bien, il est enfin l'heure pour toi de prendre pleinement ton envol ! Il y a un tas de choses à faire sur Straight Outta Bronx mais, histoire de ne pas trop te perdre, on te laisse un petit plan du forum juste au cas où :

⇢ Tu peux vérifier les listings et venir nous taper sur les doigts si on t'a oublié !
⇢ Poster ta fiche de liens (facultative mais recommandée!)
⇢ Dépenser tes points dans la boutique.
⇢ Créer tes préliens si besoin !
⇢ Ouvrir un compte Instagram ou un Adopt à ton personnage si le cœur t'en dit.
⇢ Jouer et flooder !
⇢ Ouvrir ta galerie dans le creative lab si tu as l'âme d'un.e artiste ou récupérer quelques codages pour rp !

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― il l'aimait trop ⋆¸.•*
trop bien, trop mal, trop n'importe comment peut-être, mais trop.

James Kingsnorth aime ce message

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