(Stan) turn your heart into a ghost town.

02/02/2024

( # )Ven 2 Fév - 13:56

Shelter Stanislas Olivier

ft. Jonathan Tucker

guerre (Irak), violences physiques, morts, traumatismes, dépression, violences morales, violences physiques, blessures de guerre.

nom(s) Shelterprénom(s) Stanislas Olivierdate de naissance 31/05/1982lieu de naissance New York, Amériqueoccupation ex-militaire, disquaire.groupe purgatory

nom(s) & prénom(s) ; Shelter. Stanislas de naissance mais le temps et l'expérience l'ont vu (re)naître Stan. Plus court, plus simple et intuitif. Olivier comme deuxième prénom, une fantaisie qu'il doit à sa mère et qu'il porte en horreur.

date & lieu de naissance ; il a vu le jour au début des années quatre-vingt, à New York.

nationalité & origines ; carte verte obtenue par le droit de naissance. D'aussi loin que remontent les souvenirs, la famille Shelter a toujours été américaine, même si d'ancestrales origines replacent certains vieux parents en Europe. La confession n'est pas un sujet, Stanislas a cessé d'avoir la foi depuis bien longtemps.

statut civil, orientation, genre & pronoms ; célibataire depuis longtemps, reclus dans un vieil appartement qu'il occupe depuis son retour de là-bas. L'incapacité de se lier aux autres, besoin primitif de vivre en exil. Célibataire par choix, coeur tombé au combat. Sexualité déviante sans pour autant que ça soit un sujet qu'il aime aborder. Le contact humain, par définition, est devenu ce qu'il redoute le plus dans son quotidien (il/lui).

occupation ; militaire retraité, il a accepté un poste de disquaire dans une boutique vintage du Bronx qui vend exclusivement des vinyles et CD en tout genre. Quelques bribes d'objets appartenant au siècle dernier, également, et qui le ramène invariablement à une enfance heureuse. Il y travaille cinq jours par semaine, à horaire fixe. La routine est un luxe qu'il n'a jamais connu mais dont il se délecte aujourd'hui.

traits de caractère ;[+++] homme sérieux et dévoué. On lui trouve pourtant difficilement des qualités. Paraît qu'ils ne sont pas nombreux à oser se confronter à lui, pour autant, ceux qui ont un jour essayé auraient tendance à le prétendre généreux et plus altruiste qu'il ne veut bien le laisser croire. L'homme ombrage est aussi mystérieux qu'il peut-être franc. Honnêteté aussi cinglante que difficile à entendre, il ne retient pas ce qu'il pense et préfère largement vous le faire entendre. C'est un homme droit et juste.
[---] l'homme est bougon et renfrogné. Difficile de lui arracher un mot sans avoir l'air de le déranger, il ne cause pas, ne parle pas, reste généralement dans son coin. L'avantage d'un homme aussi discret demeure dans le fait que les secrets confiés crèveront en même temps que lui. Plutôt nerveux avec une forte tendance à partir au quart de tour, les poings toujours serrés contre les hanches pour éviter les altercations, il a tendance à se montrer aussi impulsif qu'irréfléchi. Paraît que ça dénote d'un passé tumultueux.

· les Stan ; deux, à la naissance. Quelques secondes à peine les séparent mais c'est suffisant pour que s'installe cette hiérarchie qui existe aujourd'hui encore. L'aîné, c'est lui, Stanislas. Celui-là même qui prendra soin de toute la fratrie derrière lui mais plus encore de Stanley, son jumeau, son double. Difficile de grandir lorsque votre moule n'a pas servi qu'une seule fois. On passe son enfance à se comparer, à s'observer réagir différemment, on essaie de comprendre les similitudes et d'apprécier les différences. Le jumeau, c'est une prolongation de lui-même. Son tout mais également son rien. Au départ, c'est une parfaite alchimie, des rires qui se conjuguent et se mélangent, des mots qui s'arrachent aux bouches, des secrets qu'on se raconte dans l'alcôve réconfortante d'une intimité partagée à deux. Rapidement, ça devient viscéral, presque fusionnel. Stan le premier passe son enfance et son adolescence à prendre la défense de Stan le second. Il est un peu moins malin, un peu plus retors et n'a pas toujours compris que dans la famille Shelter, obéir au patriarche était une règle absolue. Alors Stan, le premier, il prend les coups quand il faut pour éviter que son frère les supporte. C'est une enfance volée, des traumas qui se dessinent sur une peau blessée. Le cuire d'une ceinture qui bouscule l'innocence et fait comprendre, très vite, trop vite, à Stan le premier que dans ce Monde, le bien ne vainc pas le mal. Jumeaux, c'était une bénédiction qui, doucement, est devenue sa malédiction. Toujours relayé au second plan pour protéger les autres mais lui plus que de raison. Aujourd'hui, les liens sont distordus, presque rompus. Le prisme n'est plus le même, les regards ont changé. Parce que la vie n'a pas été la même enseignante pour l'un et pour l'autre... chienne de vie.
· Joyce ; fille cadette, petite soeur. Plus de dix ans qui sépare les deux mômes et si seulement ça s'arrêtait à ce simple gap. Des enfants Shelter, il y a toujours eu deux clans. Ceux qui, comme maman, s'effacent un peu mais n'acceptent pas entièrement les idéologies du patriarche et ceux qui, contrairement aux autres, sont de fervents défenseurs de la sage parole dispensée par Robbie le Grand. Joyce a rapidement fait son choix, tout comme Stan. Ce qui les sépare aujourd'hui est ce qui, en douce, sépare parfois le couple que forment leurs parents. Bien sûr que la famille est importante, bien sûr qu'on continue de s'écrire, de s'appeler et de se voir mais depuis son départ pour l'Irak, Stan n'a pas donné beaucoup de nouvelles à sa petite soeur. Evidemment qu'il a tenté de la protéger, elle aussi, qu'il a fait d'son mieux pour la préserver. Des coups, elle n'en a jamais pris, la petite princesse. Le patriarche beaucoup trop fier de ce que Joyce devenait. Alors Stan, il a vite abandonné son rôle... y en avait deux autres pour l'embrasser, ce rôle. Lui, il a pris de la distance, c'était presque nécessaire finalement.
· le droit/les études ; presqu'une décennie sacrifiée à suivre les recommandations de son père. Une carrière brillante, c'est nécessaire. On lui avait laissé le choix, à l'aîné. La médecine ou le droit. C'était un manche, plus jeune, à Docteur Maboul, il touchait toujours les bords... alors des deux maux, il a choisi le moins pire. Les études ont été longues, parsemées d'embuches. C'est que l'adolescent n'était pas plus assidu en classe que ça, qu'il n'avait pas forcément les meilleures notes contrairement à ce qu'on pouvait attendre de lui et qu'il a eu très souvent envie de tout envoyer valser. Il a tenu bon, trente ans. Putain, c'est long. Avec du recul, il se doute bien que c'était pas la meilleure chose à faire... et après ? S'il avait refusé, le cuir aurait marqué son corps pour des siècles encore. L'université n'a pas été une partie de plaisir mais il s'en est sorti comme il pouvait. Son frère, lui, excellait. C'en était presque rageant. Un seul cerveau pour deux, et cet enfoiré a eu la plus grosse partie. Stanislas, il a commencé à travailler dans un cabinet choisi par son père, évidemment. Le genre de cabinet un peu véreux où les intérêts des clients ne sont importants que si le client en question est capable de sortir une liasse de billets de dollars sur la table avant même d'exposer les faits. C'était pas sa manière de voir les choses, c'était pas ce qu'il espérait... appelez ça comme vous le souhaitez mais à trente ans, il a pété un plomb et il a tout abandonné. Un beau matin, il est arrivé au bureau, il a annoncé sa démission avant de se rendre chez ses vieux et de leur dire tout bêtement : je me suis engagé dans l'armée, je pars lundi pour l'Irak. C'était bouclé, la première grande décision jamais prise tout seul.
· la Guerre ; à l'autre bout du Monde, loin des siens, Stanislas a appris ce qu'était la vraie vie. Celle-là où on sacrifie tout ce qu'on est et tout ceux qu'on aime pour le bien des autres. Sans doute la période la plus sombre de son existence mais également la plus riche d'apprentissages. Sous les bombes et la pression des armes, il a appris à ne compter plus que sur lui, à s'ouvrir aux autres et obéir à d'autres ordres que ceux de son père. Là-bas, il a découvert ce qu'il y a de plus moche, ce que l'Homme fait de plus horrible. Il a connu les amis qui disparaissent du jour au lendemain, ceux qui ne reviennent qu'en morceaux et qu'on évacue en misère. Il a connu les bombes qui explosent, les nuits qui ne dorment jamais et les surveillances dangereuses. Il a connu l'intrépide horreur de la Guerre sous toute sa splendeur, parsemée parfois d'un rien d'espoir et de bonheur. Il a connu une femme, là-bas, dont il est tombé éperdument amoureux. Une infirmière, américaine elle aussi. Elle était le seul soleil qui suffisait à son Monde pour ne pas sombrer. Jusqu'au jour où leur campement sera attaqué et qu'elle se fera fauché sous ses yeux grands ouverts. La Mocheté avec un grand M, Stan connait. Il a vécu plus d'une vie dans ces champs de bataille, il y a même perdu sa jambe gauche. Amputé sur le retour, prothèse dont il ne parle jamais et qu'il évoque à demi-mots. Blessure de guerre, la sienne. Un rappel constant à cette parenthèse de dix ans pendant laquelle une partie de lui s'en est allée, définitivement.
· Silence de mort ; retour précipité lorsqu'un jour, Stanislas marche sur une mine. L'explosion est d'une violence rare. Les dégâts plus importants que jamais. Retour définitif, débarqué de cette mission vieille de dix ans. Militaire à la retraite, c'est ce qu'on lui dit lorsqu'on le rapatrie dans son pays d'origine. Le coeur en moins, un morceau de corps également. Là-bas, il y a laissé son âme, il y a laissé quelque chose qu'il ne récupèrera jamais plus. Là-bas, il n'était pas aussi épanoui qu'il pourrait le prétendre mais il était vivant. New York est fade, les couleurs monochromes et sans saveur. En plein hiver, débarqué dans un appartement miteux. Deux pièces à peine rénové qu'il s'offre avec l'argent des contribuables. Il s'y enferme, s'y éteint. Littéralement, presque physiquement. L'homme a changé, c'est aussi impressionnant qu'effrayant. A sa famille, il ne dit rien. Ce n'est que lorsque l'Etat les contacte qu'ils apprennent le retour de l'aîné. Certains l'appelleront, pas tous. Stan le second se contentera de lui écrire un message sans prendre la peine de venir frapper à sa porte. Silence de mort, au sens propre et figuré. Dans son appartement flottent l'ombre de tous les amis disparus au combat. Chaque fois qu'il ferme les yeux, c'est l'explosion des mines et les déflagrations des armes qui le réveillent en sueurs. Chaque fois qu'une porte claque un peu trop fort, il sursaute. Alors il s'isole, du mieux qu'il peut. Lui, et cette fichue prothèse qui lui rappelle tout ce qu'il n'est plus, tout ce qu'il ne sera plus jamais.
· Remonter le temps ; très vite, il rencontre d'autres gens comme lui. Des anciens d'la Guerre avec qui il se sent libre de parler, sans pour autant toujours y arriver. Il fait la connaissance d'un homme plus discret que les autres qui le mettra en contact avec une vieille connaissance. Le bouche-à-oreille, c'est ce qui permet à Stan de décrocher un job. De l'école de droit, il n'en retire aucune satisfaction. Il se contente de peu, d'un métier simple et sans prétention. Disquaire dans un établissement spécialisé dans la vente de vinyles et de matériel vintage. Là-bas, il reste assis toute la journée derrière la caisse. Parfois il se laisse aller à discuter avec la clientèle mais de manière générale, il s'efface. Naturellement, il prend les couleurs de la ville, lui aussi, telle qu'il les perçoit. Fini le jaune solaire et le rouge passion, tout est gris, morne et sans relief. Le moral s'épuise, le corps aussi mais la routine permet d'éviter de sombrer. Il lutte chaque jour contre l'envie de vider une bouteille, il a trop vu les autres sombrer pour se permettre de faire comme eux. Alors il combat les fantômes, il combat les cauchemars et s'fait violence pour ne surtout pas se laisser aller. Il évite de sortir trop souvent, changera systématiquement de trottoirs si la foule est trop dense et préférera mille fois faire marche arrière qu'entrer dans un magasin bondé. Il est là, sans y être. Parfois, il a l'sentiment d'avoir jamais quitté l'Irak et parfois, l'impression de n'avoir plus jamais vieilli depuis ses trente ans. Il voudrait remonter le temps, affronter son père et vivre sa vie autrement. Ne pas se sentir obligé de partir à l'autre bout du Monde pour faire entendre sa voix et ses revendications. Alors il s'en veut, il culpabilise et puis... il en veut à sa famille, à ses proches. Le cercle est infernal, sombre et les lumières s'estompent. Chienne de vie.
· Calligramme de l'avenir ; dans l'écho d'un appartement vide, il retrouvera un jour sous la porte une lettre glissée. Un prénom qu'il croit reconnaître, quelques mots écrits d'une encre sombre. Si t'es en vie, ramène cette feuille à l'appartement. On partagera une bière. L'instinct ne trompe pas, le prénom non plus. Il sait qui elle est, pire encore, il y pense régulièrement. Il l'a rencontrée dans cette boutique, elle venait y acheter un vinyle. Une collection rare, un rock acidulé qu'il n'aurait pas osé lui proposer. Ils ont échangé quelques mots, ça l'a marqué. Il l'a retrouvée quelques jours plus tard au pied de son immeuble, elle rentrait d'une course, lui aussi. Ils se sont salués vaguement, il parle peu, partage rien de son quotidien. La valse des lettres a commencé le surlendemain. Une première, puis une seconde. Les mots, eux, sont restés les mêmes. La proposition est imprimée mais Stan n'y a toujours pas répondu. Sans doute qu'elle s'apparente à un nouveau fantasme, un petit miracle dans une zone d'ombres. Pourtant il s'enfonce, chaque jour un peu plus, dans les marécages d'un passé trop lourd à porter. Il renonce, refuse de lui imposer les cauchemars qui hantent ses nuits et la raison du silence qui vient de l'appartement qu'il occupe. Les lettres pourtant se succèdent, la treizième est déjà arrivée et les mots restent inchangés. On partagera une bière. C'est pas grand chose, sans équivoque et pourtant, il n'ose pas, s'y refuse. Le coeur tambourine lorsqu'il frôle le papier jauni, elles sont toutes rangées dans le meuble de l'entrée, comme des trophées. Ils continuent de se croiser, ils n'évoquent jamais les mots qu'elle couche sur papiers et l'espoir qu'elle fait poindre en lui. La cage thoracique se soulève mais s'abstient de commentaires. Il l'observe parfois par la fenêtre, lorsqu'elle s'en va courir. Et les lettres continuent, danse tragique mais réconfortante.

· En vrac ; il fume depuis l'âge de seize ans. Il a caché cette information à sa famille jusqu'à l'âge de vingt-sept ans. Quand son père l'a pris sur le fait, il a eu droit à une sacré correction. // Il porte autour du coup son collier d'identification qu'il avait à l'armée, il ne le quitte plus et le touche lorsqu'il sent son coeur se serrer dans sa poitrine. Il a tendance à frapper des deux doigts sur sa poitrine pour se calmer. // Il a un tatouage commun avec son frère jumeau sur l'omoplate. Le symbole du yin et du yang représenté par deux mains inversées et en arc de cercle. Chacun la sienne, à l'époque, ils se croyaient invincibles et inséparables. (tatouage) // Son deuxième prénom est Olivier, une information sans grande importance puisque Stan refuse catégoriquement qu'on s'en serve pour s'adresser à lui. // Il est droitier, a obtenu son permis de conduire à l'âge légal autorisé, n'a jamais été attiré par les drogues douces et dures et ne boit jamais plus que de raison. // Il vit seul dans un appartement d'à peine trente mètre carrés, c'est déjà presque trop grand pour lui. Il n'a jamais pu se résoudre à dormir dans son lit, le canapé étant son seul réconfort. // Il n'est pas adepte des nouvelles technologies, trop ancré à une réalité qui échappe aux autres. Il a toujours été curieux de nature et du genre à s'ouvrir à son entourage, même si aujourd'hui, il préfère encore le calme de son appartement. // Il sort souvent prendre l'air pendant ses jours de pauses. // Il ne s'est jamais montré sans sa prothèse et refuse catégoriquement d'inviter qui que ce soit dormir à l'appartement. // Vie sexuelle inactive depuis son retour, ce n'est pas un mal. // Il vérifie toujours trois fois que la porte d'entrée de son appartement soit verrouillée avant d'éteindre les lumières. // Cercle restreint, il n'a pas beaucoup d'amis mais les rares qu'il compte sont ceux qu'il connait depuis bien longtemps.

état du casier judiciaire ; est-ce que ton personnage a déjà été interpellé par la police ? et si oui, pour quelles fautes ? ⤷ pas de faux pas, jamais. Le père ne l'aurait sans doute pas accepté. Respecter la loi, suivre les consignes. C'est ce qui défini Stan depuis qu'il a l'âge de prendre ses propres décisions. Pour autant, il n'a jamais franchi les limites, jamais eu de démêlé avec la justice... son retour en ville s'est passé sans encombres, même si le sang ne fait parfois qu'un tour et que les poings se serrent contre ses hanches, il reste l'homme éduqué qu'il a toujours été. L'ombre menaçante du patriarche le suivra jusqu'à la tombe.

signes particuliers ; est-ce que ton personnage a des tatouages, des cicatrices, des habitudes ou des tics qui permettraient de le différencier des autres ? ⤷ des cicatrices par dizaines, c'est un fait. Une jambe de bois, résultat d'une mission qui s'est mal passée là-bas. Une mine, une explosion, il ne se souvient pas d'autre chose. Aujourd'hui, il porte une prothèse, ils sont peu nombreux à le savoir. Sinon ses anciens compagnons de fortune. Quelques tatouages pour marquer l'appartenance mais toujours dans la mesure. Il fume, sans doute ce qu'il fait le plus d'ailleurs. Il boit avec modération, il est bien conscient que beaucoup d'ex-militaires sombrent dans l'alcoolisme et il refuse de suivre ce chemin.

what's up new york ; depuis combien de temps ton personnage habite t-il new york ? que représente cette ville à ses yeux ? ⤷ il a grandi et vécu à New York jusqu'à l'âge de trente ans. A cette époque, victime d'un burn-out général à cause d'une pression latente sur ses épaules mais bien présente, il abandonne tout et s'engage dans l'armée. Les études, la carrière... tout passe à la trappe pour une fuite calculée et programmée. Dix ans, il côtoie la mort au quotidien et le pire de ce qu'est l'Homme. Quand il revient, il n'est plus le même, ne le sera sans doute plus jamais. New York l'accueille à nouveau depuis peu, la ville est désormais un écueil, linceul tout juste un cercueil dans lequel il se laisse mourir paisiblement.

the purge ; est-ce que ton personnage est pour ou contre ? qu'en pense t-il ? ⤷ comment oser soutenir la NFFA et ses actions quand on a passé plus de dix ans à voir les corps tomber et les morts se succéder ? La Purge, il est contre sans pour autant vouloir s'engager dans une lutte contre le pouvoir en place. Il reste à l'écart des manifestations, il n'a jamais été doué pour ça. Pour autant, il sait qu'il ne participera pas à la prochaine Purge et qu'il restera bien au chaud chez lui, à tout faire pour y survivre. La mort ne doit jamais être une solution, jamais.

pseudo chosen.onepronoms il/luipersonnageprélien de @Joyce Shelter créditstprls, alhazen graphics, hughdancybabyface

10/12/2023

( # )Ven 2 Fév - 19:34

Bienvenue sur SOB. I love you

Je valide le choix d'avatar. pompom

je te le réserve pour une semaine.
Si tu as la moindre question. N'hésites pas. ange

on est là.

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― il l'aimait trop ⋆¸.•*
trop bien, trop mal, trop n'importe comment peut-être, mais trop.

11/01/2024

( # )Ven 2 Fév - 22:43

Bienvenue sur le forum ! cutie

Je ne connaissais pas le fc et je suis agréablement surprise !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche koeur

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I've made some real big mistakes
But you make the worst one look fine

25/01/2024

( # )Sam 3 Fév - 16:49

Bienvenue sur le forum, courage pour la rédaction flamme

06/01/2024

( # )Lun 5 Fév - 6:09

fuck, jonathan tucker... j'l'ai trop kiffé dans kingdom bave

puis le perso a déjà d'la gueule! italiankiss

welcome here! et n'importe quand pour un lien hein

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“Oh, I'm a wreck without you here. Yeah, I'm a wreck since you've been gone. I've tried to put this all behind me... I think I was wrecked all along. Yeah, I'm a wreck.”

(Stan) turn your heart into a ghost town. James-signa1

(Stan) turn your heart into a ghost town. James-signa2

28/01/2024

( # )Lun 5 Fév - 9:01

Stanislas, un de mes prénoms préférés cute

Un superbe choix pour ce personnage qui se profile ! J'aime aussi beaucoup le fc choisi ! Allez, on veut en savoir plus là !
Bienvenue par ici et bon courage pour la suite de ta fiche 1915553615

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can death be sleep,
when life is but a dreamand scenes of bliss
pass as a phantom by ?

13/08/2022

( # )Lun 5 Fév - 15:27

j'ai pas encore eu l'occasion d'passer par les présentations dernièrement tellement le temps me manque MAIS, bienvenue parmi nous argh

je ne connaissais pas le fc (oui, aucune culture, c'est moche). cependant, l'est pas désagréable à regarder smirk

il m'fait beaucoup penser à tommy shelby des peaky blinders tho, ex-militaire, ptsd, irlandais et roumain huuu

(bon, à l'exception qu'il a pas un empire sous sa chaussure le stan 1282746725

)
courage pour la rédaction! et si tu as des questions n'hésite pas!

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― light em' up ⋆¸.•*
everybody praying for the end of times

02/02/2024

( # )Mer 7 Fév - 17:17

J'voulais tous vous remercier pour vos gentils messages, ça m'touche beaucoup.
J'espérais le retour de la créatrice du PL que j'avais choisi mais je vois que ce n'est toujours pas le cas... du coup je m'interroge sur mon inscription ici et sur l'avenir de mon personnage cute

J'suis trop désolé parce que ça m'bottait de ouf' mais c'est du coup un peu compromis. ouin

J'vais réfléchir et parcourir les PL, voir si je peux éventuellement partir sur autre chose.
Mais en tous les cas, je vous remercie du fond du coeur pour vos messages. lovee

10/12/2023

( # )Mer 7 Fév - 17:46

Coucou

Oui ça peut casser un peu la motivation quand tu prends un PL avec une créatrice absente ouin

c'est tout à fait compréhensible. Nous te laissons parcourir un peu ce petit monde, en espérant sincèrement que tu trouveras ton bonheur ange

Si tu as besoin de quoi que ce soit. N'hésites pas en tout cas. On est dans le coin. slip

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― il l'aimait trop ⋆¸.•*
trop bien, trop mal, trop n'importe comment peut-être, mais trop.

19/12/2023

( # )Sam 10 Fév - 7:36

je passe un coup en retard. because me. my life. my motto. jpp.
mais j'comprend tout à fait le struggle de tenter une idée qui motive tellement.
et la voir un peu perdu dans l'eau sans savoir comment la repécher.
j'espère que tu trouveras chaussure à ton pied, sinon ! hésite pas à passer.
j'suis en réflexion sur quelques trucs alors si on peut s'papoter ça ensemble ça s'rait cool.
j'lance ça dans l'air, pas besoin de rattraper ksks.
en tout cas, fc je l'aime d'amour on l'voit peu ??? et personnage semblait vraiment promettre beaucoup "d'avant et d'après".
courage pour tes réflexions. cute

et bienvenue !

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