nate fraser

19/01/2024

( # )Dim 21 Jan - 16:23

ft. robert pattinson

décès, crime, abandon, deuil, accident, vulgarité

nom(s)fraserprénom(s) natedate de naissance 20.02.88lieu de naissance Detroit, Michiganoccupation detectivegroupe purgatory

nom(s) & prénom(s) ; D'un prénom entier omis des autres, émi de sa mère, Nathaniel n'évoque pour lui que l'onde des artères sombres, les feux xénon en signes lunaires le trahissant de sa présence dans une ville comptée en nombre de déchéances. Enfant perdu, gosse insolent brillant plus clair que le reste du monde inerte. Une vie piétinée, mais de ces griefs, Nate en ressort indemne ou presque. Dupe peut-être, il se livre encore parfois aux souvenirs de ses délires d'autrefois.

date & lieu de naissance ; (20 février 88) 35 ans, la foi muée, la justice en dévolu, l'enfance révolue. Combien de voies se sont succédées dans sa quête de tempérance ?

nationalité & origines ; Pur produit américain, pas le parfait modèle du patriote dans les regards. Il est de ces enfants de Detroit qui ont vu leur monde en déclin. La chute d'un empire. Son nom et sa gueule en revanche ne bluffent personne quant à ses origines. Gamin outre-Atlantique, l'Angleterre coule dans les veines depuis deux générations maintenant. L'eldorado, promis pourtant à ses grands-parents, semble n'être qu'une chimère.

statut civil, orientation, genre & pronoms ; (il;cis) Ils se ressemblent comme ils divergent. Ils se lient comme ils se délient. Deux flammes aux couleurs complémentaires, comme les prémices d'un futur abrasif. Deux cœurs qui battent au même rythme, qu'importe le délit commis. Deux pôles contraires qui s'attirent, qui s'attraient, qui s'arriment, magnétiques.

occupation ; (Detective enquêteur section crime organisé) Ex-chauffeur, ex-pilote, ex-pilleur. Ex-délinquant, repris de justice, patrouilleur puis Detective sous le signe de la conjoncture démographique et de l'essor du crime. Choix de carrière hypothétique sous l'échiquier de son ambition personnelle. Un bout de réussite aux jeux de la dame pour contrer ses successions d'échecs et mat.
Il détient toujours cette braise et ce besoin de se foutre en l'air pour sentir son cœur battre. Préparateur quand il ne relie pas ses affaires, il a loué un bout de terre en pleine campagne pour collecter ses épaves de gomme et de métal. Aujourd'hui, les voitures y passent, y défilent et disparaissent. Banni du cuir et des pédales, il a laissé sa carrière illégale dans la vitesse à la brume de Detroit et de ses pluies de gyrophares pour engendrer le rôle inverse.

organisation ; La criminalité, il aurait pu l'épouser comme en mourir. Pourtant, aujourd'hui, il vit de l'autre côté de la frontière. Echappé d'une vision manichéenne, il éprouve beaucoup de mal à y trouver du négatif chez certains criminels. Les passés flous peuvent amener aux choix fous, tant que la psycho l'explique. Tanné par ses supérieurs pour son laxisme selon le profil des condamnés, il en puise sa force, flic désaccordé.

traits de caractère ;[+++] Téméraire, aventureux, audacieux, casse-cou, honnête, protecteur, observateur, impassible, humain, manuel, ambitieux (besoin de réussite).
[---] Impulsif, brut, sarcastique, renfermé, sensible, revêche, buté, caractériel.

C H R O N O L O G I E

· 1988 ; début de tout, d'un bout de rien. Detroit, berceau malfamé, ruiné, l'apogée piétinée sous le soleil des seventies.
· 2001 ; père assoiffé, cécité cupide, tué. Reste plus que Baba et Nate, la foi en moins, corrompue, sous l'étendard d'une criminalité en apogée.
· 2005 ; arrestation ; verdict. Encore mineur face au juge. Mise à l'épreuve et jobs de merde. Idées noires qui s'entremêlent à l'avenir cauchemardesque.
· 2007 ; rédemption. déménagement, nouvelle air, nouvel ère. L'année des mains tendues et des tournants. Assez fort, Nate, pour s'en saisir. Assez fort, Nate, pour méprendre l'emprise.
· 2021 ; uniforme enfilé, brigade, gradé. L'ère des réussites et des rescapés. Gamine réfugiée dans un garage. Sauvetage mutuel.
· 2023 ; détective ; crime organisé, plongeon immersif dans l'idéal du trafic, courses-poursuites, indics invétérés. Immersion dans les clubs les plus indociles pour démanteler le cercle très privé des God Fathers.

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· LIFE ; 2023 ; NYC ; Assombri par l’air alourdi et la fièvre des buildings, le cul vissé dans la chaise en plastique qui grinçait à chaque mouvement, je guette le temps qui court et qui s’écoule, spectateur de ma propre vie. La tasse fumante entre les doigts, le bord se presse contre mes lèvres. Le thé roule sur ma langue, l’amer british d’entre les veines. Casquette plantée sur la tête, mes perles assistent au défilé, en diapositives, sous les traits noirs d'une ville qui ne s'éteint jamais. Sous la brillant d'un orage rougeoyant qui grondait ici-bas, seul en terrasse, au cœur des gerbes de fleurs jaunâtres, l'œil pointe la montre. Lutte. Percute. Sur l'aiguille qui ne défile pas assez vite. Sur la tasse entamée, et presque vide. Mais je ne laisse rien paraître. La gueule effrontée. Le sourire discret, asséné au serveur qui me ramène l'addition. La théine dans les veines, en addiction. Les mains glissent dans la veste de cuir. Le temps passe, se lasse, m'harasse. Et Ron ne se pointe pas.

« Fait chier… » Les mots atrophiés d'entre mes lèvres crispées, mordues par l'impatience. Encore un faux plan de cet indic de merde. En miettes, les plans et les business avec. Les billets lâchés à la va-vite, je me redresse avant de disparaitre à l'angle d’une artère, un mot lâché à l’oreillette. « On arrête tout. Il s’pointera pas. »

· END ; 2004 ; DETROIT ; Papa sévère. Papa distant. Papa usé, chauffeur privé d’une famille privilégiée. Papa envieux d'un luxe qu'il ne pouvait qu’effleurer sans jamais le posséder. Employé persévérant, absent jusqu’à plus d’heures. Gamin, aux horaires détonnant de la nuit, j’attendais mon père au pied de la grille. L’imiter. Tout faire comme lui, à une époque où le glorifier était la raison de toute une vie. Un jeu, un défi, pour amuser la galerie. Mais la vérité n’était pas si juvénile. Figure absente, matérialiste, et finalement c’était Baba qui se souciait de mon avenir quand au regard d’un père la vie avait un prix. Vendu, vandale, épris de l’avarice plus que d’un fils et d’une mère, il a fini par disparaitre, laissant un vide. Un bout sans âme, sans être, où l’esprit s’était forgé en failles et en faiblesses. Les murs dépeuplés avaient remplacé les crises, et la maison n’a plus jamais été que l’ombre de son devenir.

Ce qu’il reste. Des remords. Des regrets. Des rancœurs portées pour spleen éternel. Des non-dits, des griefs, des pudeurs qu’on aurait voulu voir disparaître. Ce qu’il reste. Une cérémonie, six pieds sous terre, et les souvenirs en disparaitre, drapés de noir sous linceul blanc.

Ce qu’il reste. La violence d'un deuil impératif. La délinquance pour refuge intempestif. Une ombre ternie qui grandit dans un monde qui ne me mentira plus. Ce qu’il reste. Quelques mots pour une revanche.

« J 'ai appris à vivre sans toi... »

· DEATH ; 2005 ; DETROIT ; Mes doigts meurtris, sur le cuir du volant, le moteur tournant encore. La fumée dans le vague. Les pensées dans le vide. La détresse en étendard.

Ça avait touché.
Ça avait fait mal.

Dans la mémoire, que dalle. Les derniers conseils du préparateur dans mon casque. Et puis le mur. Et puis l’impact.

La paupière cligne, le corps décline. En face, la vieille usine désaffectée. Le grillage saccagé. Le même, depuis cinq ans. Le rouge. Le rouge des briques. Le rouge du pourpre. Le rouge dans l’œil. Plus loin, un van Chevrolet. Plus près, ma caisse encastrée. La gueule cabossée. Les côtes fêlées. Cadavre sans pactole. Carcasse sans arôme. La poussière attire mes narines, effleure, caresse, mais mes sens m’interdisent de tousser. Mes nerfs, sans adresse.

Fuck off.

Le crâne hurle la houle, gisant sur le cuir froid du volant. Le crâne clivé, flagrant, en perte de sang, l’essence éméchée. Le capot visant le nébuleux, avalé, au creux de la nuit. Je tousse, les membres broyés en électrochocs. Je tousse encore, jusqu’à ouvrir les yeux. La caisse, une ruine. En dedans, une secousse sismique. En dehors, des sirènes rythmiques. Rouge. Jaune.

Du reste ? Une ambulance. Des échos vagabonds, le bruit qui court. Gamin échoué, mené à ma perte. Emmerdes. Centre pénitentiaire. 17 ans à peine. L’American Dream pour Cour Suprême. De ces parcours qui me feront risquer la prison. Courses prohibées. Armes non déclarées. Substances illicites. Mes derniers souvenirs avaient l’odeur de la gomme carbonisée sur l’asphalte, avant qu’un de ces flics ne rétrograde ma liberté, à peine sur le brancard.

« T’es dans la merde…. »

· REBIRTH ; 2007 ; NYC ; Il y a de ces intempéries au goût d'accalmie, et de ces regards qu’on omet plus.

Celui d’une mère. Seule. Tempête autant que tumulte. De celles qui sont lionnes. De celles qui dévorent pour leur progéniture. De celles qui oublient leurs blessures pour briller un peu plus fort. Père disparu. Fils délinquant. De ces vies qui nous usent plus qu’elles amusent.

Celui d’une mère. Veuve. Face au procureur. Au juge pénal. Travaux d’intérêt général et nos dernières fortunes liquidées contre une défense de valeur sûre.

Celui d’une mère. Heureuse. Pliant bagage. Maison invivable, tant les souvenirs sont palpables. Une mère heureuse, dans un avion, vers un nouveau départ. New York, nouvel agent probatoire en charge. Moi, marmot impitoyable, mains dans les poches, semelles sous le coin de table faisant office de bureau dans le couloir. Muet. Aveugle, parce que je le voulais. Un masque porté en société pour éviter de céder. Les idées noires à la chaine, et l’aide qui vient, finalement, sans vraiment le vouloir. On s’est appelé. Des heures. Des jours. Des mois. Il y croyait, à ce regard opium qui lui faisait face, qui hurlait injustice, qui vivait mal. Des coups assenés comme les cicatrices que je garde de ce crash d’y a deux années, trop de coups, assez pour croire que c’était le destin qui s’acharnait. Tommy, nom d’une longue liste citant ceux qui voulaient changer les choses, renverser les codes et détruire le rouage d’un ordre devenu désordre.

Jusqu’à la feuille glissée sous mon nez.

« Des sessions de recrutement sont actives en ce moment. T’as 18 ans. Ça s’ouvre à toi. Examens écrits, médicaux, physiques et psychologiques. Dépistage, mais ça c’est pas un problème, hein ? »

Yeux dans les yeux, on se jauge. Il sourit. Je m’enferme.

« T’y avais jamais pensé ? »
« J’ai été condamné. »
« Des crimes mineurs d’une personne mineure. »
« Et alors ? »
« Alors, une grâce ça s’accorde, un casier, ça s’efface. J’suis pas en train de te dire que ça se fera entre deux décas à la cafet, mais que si tu l’veux, tu peux. Tu dois juste me prouver que tu es capable, que t’en as envie, que tu vas t’en donner les moyens. T'en as marre de l'injustice ? T'as envie d'voir d'autres gosses sombrer comme tu l'as fait, juste parce qu'ils ont croisé le chemin d'un mauvais flic au pire moment d'leur vie ? Nate, j'sais ce que tu veux, ce que t'attends de la suite. J'te donne l'opportunité de le réaliser. J'te file les clés. »

· LITTLE HOPE ; 2021 ; NYC ; « J'peux t'aider ? » Les regards se confondent entre elle et moi. La petite, sur les trois marches qui séparent l'appartement miteux du garage. Les traits se tordent. Mécontente, la gamine, de ces reflets aux teintes identiques à celles que j’avais à son âge. De ces traits juvéniles rescapés d’un naufrage, convaincus de se battre.

« Barre-toi de là. Ron va pas tarder, je veux pas qu'il te voit, j'te l'ai déjà dit. » La gamine, là, truffe taquine, présence féline. Amour du risque, des limites à franchir, des territoires à assouvir. Vivre vite. Vivre mal. Vivre avant l’heure. Pas encore majeure. Piétinée par la vie. L'inégalité. L'injustice. Une vie balayée, l'enfance asphyxiée. Elle me rappelait moi, à son âge, à courir une revanche éternelle sur l'existence. Sur les autres, même les innocents, quitte à ce que la vengeance gronde au fond du ventre. Les espoirs trainés dans la boue. La conscience de l'illusoire. D'être dérisoire.

Elle démord pas, la gamine. Plantée là, sur ses trois marches. Sauvée de la rue. Sauvée d'une famille merdique. In extremis avant que sa vie ne s'assombrisse, dans les ghettos qui grandissent à NYC et qui aiment se nourrir de minois comme le sien. Un trésor, conservé loin des regards. Couverte. Couvée. Trop, probablement. Mais qu'importe. Incapable de la laisser partir. Filer. S’enfuir. A aucun prix. Et de nous deux, on grandit. On guérit. Un semblant de famille.

· DESIRE ; 2023 ; NYC ; L'inévitable tentation. L'irréversible attraction.

La rue est déserte. Le plan est travaillé. La montre au poignet se révèle comme unique reflet à mon regard fixe. Mes ongles dans la chair du volant, la caisse disparaitra avant l'aurore. Refourguée, broyée, évanouie. La piste brouillée, méthode instantanée des flicailles infiltrées. Le regard terne, le déroulé défile en entier dans ma tête.

Arrimé à l'angle de l’artère, le souffle se calme, se terre, s’adapte, là où l'asphalte se dissipe sous les traits crus d'un feu qui passe obstinément du rouge au vert. 60 secondes, à chaque fois. Expiration. Inspiration. Une boucle sans fin, sans faille, en soif de succès. En soif de gloire, la justice en alibi pour prouver ma bonne volonté de me trouver là ce soir.

Rouge.
Le club s’éternise dans sa lueur arythmique de lampes halogènes. Sous la moiteur de la vitre, je décèle seulement l’atmosphère lubrique nappé de rose, en masses informes.

Vert.
Le souffle réfléchi. BPM affaiblis. Pourtant, c’est le cœur à l’envers dans les chœurs sédentaires et les heurts élémentaires des orchestres inhérents qui résonnent dans ma tête.

Schéma intemporel.

Rouge.
La portière claque. Derrière moi, les dernières traces de mon grade, d’une carrière que je déguise pour l’œuvre d’une couverture exotique. Les God Fathers. L’ombre du crime. New York pêcheresse, rien de mieux qu’un autre pêcheur pour les mener à leur perte. Pour ça, le besoin de preuve se fait ressentir. Des pions au trou de la veille, au fond d’une cellule qui délie les langues. Secrets murmurés, l’enquête conduisait à cette chorégraphe psychédélique. Clope aux lippes, mes semelles au chevet de la piste, nos yeux se pistent, se cernent, se nourrissent. C’est l’électrique qui me vêtit quand elle s’étire dans ma rétine.

Cible parfaite.
Oui mais pour qui ?

Vert.
Plus de feu tricolore. Même plus de couleurs. Seulement le son gras des basses qui résonnent sous nos pattes et ma nuque qui suffoque. Sous la chaleur d’un grill, je m’enfonce, je m’efforce, mes sens la dévorent pourtant déjà, comme si c’était trop tard.

« Aller Kai, c’est l’heure de la fête. »

état du casier judiciaire ; est-ce que ton personnage a déjà été interpellé par la police ? et si oui, pour quelles fautes ? ⤷ casier fourni Conneries juvéniles. Gommé par la foi d'un conseiller de réinsertion en échange d'une âme vendue au nom de la paix. Drogue, alcool, courses illégales. De cette longue liste, seule la dernière ligne d'arrivée a compté sur le banc des accusés, les autres crimes mis sous scellé.

signes particuliers ; est-ce que ton personnage a des tatouages, des cicatrices, des habitudes ou des tics qui permettraient de le différencier des autres ? ⤷ immaculé d'encre, les cicatrices sont pourtant bien restées. Au torse, au bras, le long du crâne, couvert par les mèches laissées toujours trop longues. Mémoire d'un soir, au volant d'une bagnole trafiquée, où tout a basculé au lieu de tout éteindre.

what's up new york ; depuis combien de temps ton personnage habite t-il new york ? que représente cette ville à ses yeux ? ⤷ 2007, 18 ans. Un nouveau départ, le temps des chances collectées et des erreurs enterrées avec les griefs et les regrets. Un nouveau départ, l'indépendance choisie sur un comptoir de bar, entourée dans un journal. Une maison miteuse, un pan de jardin d'herbe jaunie aux allures de prison fédérale. Une cuisine, de quoi croupir, et une mère jamais bien loin. Un nouveau départ, une carrière, des sacrifices, des heures offertes au travail sans bénéfices, contre un grade et une arme de service.

the purge ; est-ce que ton personnage est pour ou contre ? qu'en pense t-il ? ⤷ gamin en colère contre son père, contre sa vie, contre Detroit, contre le pays. L'existence parsemée d'injustices, la phobie est plus forte qu'elle. Au-delà de la purge, c'est le système entier qui répugne, la loi, les juges, et de ces ripoux qui la profanent. Enfant rebelle, enfance infecte. De ces tueries, rien ne reste. Terrés, Baba et Hope, dans l'abri du garage, là où les buildings disparaissent et les peuples se taisent. Chaque année, toujours pareil. Indifférence dans un système déjà corrompu jusqu'à la moelle.

pseudo nalypronoms ellepersonnageprélien de @kenna yangcréditsellaenys

11/01/2024

( # )Dim 21 Jan - 17:05

Hey !

Bienvenue parmi nous et bon courage pour la rédaction de ta fiche, j'ai hâte de lire ta fiche smile

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I've made some real big mistakes
But you make the worst one look fine

Nate Fraser aime ce message

06/01/2024

( # )Dim 21 Jan - 17:22

PATTINSON ou un dieu parmi les hommes. Je te le réserve pour 7jours. ange

Très bon choix de PL. 1679480136

Bienvenue sur SOB smile

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― qu'est ce qu'ils foutent ? ⋆¸.•*
je crois qu'ils essaient d'être heureux.

Nate Fraser aime ce message

11/07/2023

( # )Dim 21 Jan - 18:24

Encore une fois, bienvenue parmi nous flamme

Bon courage pour la suite de ta fiche, ta plume est sublime à lire 382148997

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It's like you kill me by designtell me that you'll never ever go think about wanting to leave me.

Nate Fraser aime ce message

31/12/2023

( # )Dim 21 Jan - 19:36

:emoji détective:
bienvenue !! star

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✧ deepest sigh ever

Nate Fraser aime ce message

13/08/2022

( # )Dim 21 Jan - 21:34

mon crush de gamine. halala, l'pattinson, on ne s'en lasse ja-mais.
bienvenue parmi nous!!! puis un prélien en plus, c'est giga cool moustache

très très hâte de vous voir en jeu avec kenna! j'suis très curieuse de ce que ça va donner!
courage pour la rédaction et si tu as des questions, n'hésites surtout pas pinkstar